(Le mot-symbole de Statistique Canada, le mot-symbole du Canada et le titre : " Recensement de la population de 2021 : Scolarité, travail, langue de travail, navettage, et instruction dans la langue officielle de la minorité " sont à l'écran)
(Thérèse Nguyen est à l’écran)
(Diapositive à l'écran avec le calendrier de diffusion du recensement de 2021)
Bienvenue à tous et à tous pour cette dernière séance sur les données du recensement. La semaine dernière, nous avons publié la dernière série avec le dernier thème qui est la scolarité au travail, la dynamique changeante dans la population active canadienne, puis le marché du travail aussi, tout ce qui est aussi sur la langue d'instruction dans la langue officielle minoritaire. Aujourd'hui, je vais essayer de passer à travers les différents concepts en lien avec ces sujets là avec vous.
(Une diapositive montrant un aperçu de ce qui sera discuté est présentée)
Dans un premier temps, on va regarder la population cible pour ces différents concepts et les sujets, les différents concepts et définitions, quelques indicateurs clés également et on va terminer avec un tour du site internet pour voir les différentes données et ressources qui sont disponibles que nous avons diffusées la semaine dernière en lien avec ces thèmes que je viens de mentionner.
(Une diapositive présentant la population cible du recensement de 2021 est présentée)
Avant de commencer avec les différents thèmes d'aujourd'hui pour la dernière fois, je vais vous rappeler que la population cible du recensement pour laquelle on compte et qu'on diffuse les données. Le recensement est par définition un dénombrement complet de la population à un moment donné, dans le temps. Pour le recensement de la population, cette population cible, c'est à dire la population pour laquelle on recueille l'information, au mois de mai dernier.
Ici, on va comprendre tous les citoyens canadiens de naissance ou par naturalisation, ainsi que les immigrants reçus donc les résidents permanents. Et depuis 1991, il y a aussi les résidents non permanents. Bien entendu, il faut aussi ajouter à cela les citoyens canadiens et les immigrants reçus qui sont à l'extérieur du Canada. Soit les employés du gouvernement qui travaillent à l'extérieur du pays, le personnel des ambassades en affectation dans d'autres pays, ainsi que les membres des forces armées canadiennes en poste à l'extérieur du Canada et les membres des navires marchands canadiennes et leurs familles.
(Une diapositive continue sur la population cible du recensement de 2021 est présentée)
On peut aussi rajouter les résidents non permanents, comme les demandeurs d'asile et leur famille vivant au Canada, ainsi que les titulaires de permis de travail ou d'études et bien entendu, les familles qui vivent avec eux autres ici, au Canada. Et à l'inverse, on ne comptera pas les résidents étrangers qui se trouvent au Canada au moment du recensement, ils auront exclu des chiffres de recensement. Et dans cette catégorie, ça va comprendre les représentants des gouvernements d'un autre pays ainsi que leurs membres qui sont avec eux au Canada. De la même façon, on va exclure les personnes dans les forces armées qui sont des autres pays qui sont en poste au Canada et les résidents d'un autre pays en visite au Canada de façon temporaire.
(Page de titre du thème de la diapositive sur la scolarité)
Le premier thème qu'on va aborder aujourd'hui est la scolarité.
(Une diapositive présentant le concept de certificat, de diplôme ou de grade le plus élevé et les questions posées dans les questionnaires de recensement est présentée).
Pour la diffusion des données, la scolarité est exprimée avec la variable qu’on appelle le plus haut certificat, diplôme ou grade.
C’est une variable qui est la population âgée de quinze ans et plus dans les ménages privés. Elle désigne aussi le plus haut niveau de scolarité qu'une personne ait terminé avec succès. On la dérive à partir des réponses aux questions sur le titre scolaire ou l’on demandait de déclarer tous les certificats, diplômes ou grades obtenus. Ce sont les questions 33, 34 a) b) et c), spécifiquement. À la question 33, ça se réfère à l'achèvement des études secondaires, tandis que la question 34 se penche sur les études post-secondaires. La 34 a), on demande l'achèvement au niveau des écoles de métiers et des centres de formation, etc. Tandis que la 34 b), c'est pour le niveau des études collégiales, cégep ou encore dans un établissement non universitaire. Et finalement la 34 c), on vous demandait si vous aviez complété un certificat, diplôme ou grade universitaire?
(Une diapositive continue sur le concept du certificat, diplôme ou grade le plus élevé et sur les questions des questionnaires de recensement est présentée)
A droite, vous avez la suite de la question 34, soit la 34 c), ainsi que les différents choix des réponses possibles que la personne pouvait cocher. Pour les certificats, diplômes ou grades universitaires, une personne peut choisir le plus haut niveau qu'elle a complété, soit dont le certificat ou diplôme qui est inférieur au baccalauréat, le baccalauréat, un certificat, un diplôme qui est de niveau supérieur au baccalauréat. On pouvait aussi choisir un diplôme en médecine, médecine dentaire, vétérinaire ou en optométrie. Ensuite, la maîtrise ou encore le doctorat acquis.
Sur la partie de gauche, vous avez l'arborescence de la variable elle même lorsqu'on combine les réponses des questions 33 et 34. Bien entendu, le dernier point, baccalauréat ou grade supérieur. On peut également le décliner avec toutes les réponses que vous avez, à droite de la diapositive à l'écran.
(Une diapositive présentant le concept et la question du domaine d'étude principal dans les questionnaires de recensement est présentée)
Le domaine d'études, elle fait référence à la discipline qui est associé à un cours ou un programme d'étude donné. À la question 35, on demandait aux répondants d'inscrire le principal domaine d'étude, en fonction du plus haut certificat de diplôme ou grade qui a été obtenu. En lien les réponses que les répondants avaient fournies pour les questions 33 et 34 qu'on vient juste de voir. Tous les domaines d'étude sont codés en fonction de la classification des programmes d'enseignement, le CPE.
La version 2021 de la CPE comporte beaucoup de modifications. On conseille aux utilisateurs de donner, de s'abstenir de faire des comparaisons entre les catégories des deux systèmes de classification, entre la CPE de 2016 et la CPE de 2021. Du point de vue de leur appellation, même si certaines d'entre elles ont dans les deux classifications sont semblables, les comparaisons directes pourraient être contre indiqués. Étant donné les changements multiples effectués au niveau le plus détaillé pour mettre à jour cette classification-là. Pour permettre une comparaison historique, les réponses sur le principal domaine d'étude ont également été classifiées selon la CPE de 2016.
C’est quelque chose qu'on pourrait aussi aller chercher éventuellement sur le site de Statistique Canada. Il y a aussi une variante qui pourrait être utilisée pour examiner ou comparer les domaines d'études STGM, en sciences, technologie, génie, mathématique et sciences informatiques. Ou en stage, dans les autres domaines que le STGM par exemple les domaines de la santé, les arts, le commerce, les sciences humaines, l'éducation, les sciences sociales du comportement.
(Une diapositive montrant l'emplacement du concept de l'étude et de la question sur les questionnaires de recensement est présentée)
Par lieu des études, on fait référence ici à l'emplacement d'un établissement d'enseignement.
Donc il s'agit, du lieu où se trouve l'établissement ayant décerné le certificat, le diplôme ou le grade, et non le lieu où se trouvait la personne lorsqu'elle a obtenu ou lorsqu'elle fréquentait cet établissement. Le lieu géographique est défini selon les frontières en vigueur au moment où les données ont été recueillies, et non pas selon les frontières au moment des études. Si c'est au Canada, on demande de spécifier la province ou le territoire et si c'est à l'extérieur du Canada, on demandait de spécifier le pays. Cette variable n'est disponible que pour la population ayant un certificat, diplôme ou grade postsecondaire.
(Une diapositive montrant l'emplacement du concept d'étude par rapport à la province ou au territoire de résidence est présentée).
Toujours en lien avec le lieu des études. On peut aussi le combiner avec le lieu de résidence, ce qui nous permet de dériver certaines informations intéressantes en lien avec les personnes qui étudient dans une autre province, territoire ou bien dans un autre pays que leur lieu de résidence. Avec cette variable, on peut savoir si le lieu des études était dans la même province, territoire de résidence ou dans une autre province, territoire de résidence ou encore à l'extérieur du Canada. Pour le cas échéant, on va indiquer les pays au moyen de la classification type des pays et des zones d'intérêt. La CTPZI, où les pays sont regroupés par continent et sous-continent et par pays, après ça. Une fois encore, cette variable n'est disponible que pour la population ayant obtenu un certificat, diplôme ou grade post-secondaire.
(Une diapositive décrivant le concept de fréquentation scolaire et la question figurant sur les questionnaires de recensement est présentée)
La fréquentation scolaire indique si une personne a fréquenté l'école ou non, à temps plein ou à temps partiel pendant l'ensemble ou une partie d'une période de référence de la période de référence donnée. La période de référence pour cette variable est la période de neuf mois, allant de septembre 2020 jusqu'au 11 mai 2021. Par fréquentation, on inclut également la participation à des cours ou des programmes offerts sur internet par correspondance, selon d'autres méthodes non traditionnelles. La fréquentation est comptée seulement pour les cours qui permettent d'accumuler des crédits en vue de l'obtention d'un certificat, d'un diplôme ou d'un grade décerné par un établissement ou un programme d'enseignement tel que les écoles primaires, secondaires, les programmes d'apprentis inscrits, les écoles de métiers, les collèges et cégeps et les universités, par exemple. Si, par exemple, votre employeur vous envoie en formation, cette formation ne sera pas considérée dans la fréquentation scolaire si elle ne vous donne pas de crédits en vue de l'obtention d'un diplôme.
(Une diapositive montre un graphique du pourcentage de la population un baccalauréat ou grade supérieur au Canada entre 2006 et 2021)
Voici quelques données que nous avons publié la semaine dernière.
Ici vous avez le pourcentage des Canadiens détenant un baccalauréat ou un grade supérieur qui a augmenté plus rapidement que par le passé, non seulement la vigueur du secteur collégial joue un rôle important dans le classement international élevé qu'occupe le pays, mais le nombre de canadiens détenant un baccalauréat ou un grade supérieur augmente également. Environ un tiers des Canadiens en âge de travailler détenaient un baccalauréat ou un grade supérieur, c'est à peu près 32,9%. Il s'agit d'une augmentation de 4,3 points de pourcentage entre 2016 et 2021, soit une hausse plus rapide que celle observée au cours des cycles de recensements précédents, durant laquelle l'augmentation était légèrement inférieure à trois points de pourcentage. La hausse observée par rapport à 2021 représentait un nombre supplémentaire de 1 million de personnes en âge de travailler détenant un baccalauréat ou un grade supérieur. Et près de la moitié de cette hausse était attribuable aux immigrants récents. Les personnes ayant immigré au Canada depuis le recensement de 2016.
Le nombre d'immigrants récents était le plus élevé jamais enregistré dans le cadre du recensement canadien. Ces immigrants, qui sont arrivés entre 2016 et 2021, étaient plus scolarisés que ceux issus de toutes les autres cohortes précédentes d'immigrants. Près de six personnes sur dix détenaient un baccalauréat ou un grade supérieur.
(Une diapositive montre un graphique du taux de surqualification des titulaires de diplômes en fonction du statut d'immigrant, du lieu d'études et du sexe en 2021).
Bien que la cohorte la plus récente d’immigrants soit très instruite et que les résultats sur le marché du travail se soient améliorés, tous les immigrants ne trouvent pas un emploi correspondant à leur niveau d'instruction, en particulier ceux qui ont des diplômes étrangers. Les diplômes étrangers ne sont pas toujours reconnus comme équivalence au Canada, de sorte que les immigrants titulaires de ces diplômes sont deux fois plus susceptibles d'être surqualifiés que les diplômés nés au Canada ou formés au Canada. Plus d'un quart des immigrants titulaires d'un diplôme étranger étaient surqualifiés, en effet. Cette surqualification et son adéquation avec l'emploi existe même dans les domaines tels que les soins de la santé ou la demande de la main d'œuvre est extrêmement élevée. Par exemple, seulement 36,5% des immigrants titulaires d'un baccalauréat étranger ou d'un diplôme supérieur en soins infirmiers autorisés ont travaillé comme infirmier autorisé ou dans des professions étroitement liées, tandis que ce taux monte à 41,1%, des immigrants titulaires d'un diplôme médical étranger ou d'un diplôme médical étranger ont travaillé comme médecins au pays.
(Diapositive de la page de titre du thème du travail)
Passons maintenant aux concepts et aux variables sur le travail. Sur le thème du travail, l'univers qui est présentement utilisé, principalement utilisé est la population âgée de quinze ans ou plus vivant dans les ménages privés. Sont exclus de cette population les personnes vivant dans des logements collectifs institutionnels comme les hôpitaux, les résidences pour personnes âgées ou les prisons. Les citoyens canadiens vivant dans d'autres pays aussi sont exclus, ainsi que tous les membres à temps plein des forces armées canadiennes en poste à l'extérieur du Canada. Les personnes vivant dans les logements collectifs non institutionnels comme les camps de chantier, les hôtels, les motels et les résidences pour étudiants sont aussi exclus de cette population. Les données du travail peuvent être réparties en trois groupes, les données sur la situation d'activité pour la semaine de référence, qui est le 2 mai au 8 mai 2021, donc par exemple les données sur les personnes occupées, le chômage ou en activité. Ceux qui fournissent le taux de chômage, le taux d'activité et le taux d'emploi. On va aussi retrouver les caractéristiques des emplois décrivant le poste actuel d'une personne ou le poste occupé le plus longtemps depuis le 1er janvier 2020.
Et aussi, dans cette série de concepts et de données, on va retrouver l'information liée au travail pendant l'année civile 2020. Par exemple le nombre de semaines travaillées, est la question de savoir si les personnes travaillant surtout à temps plein ou à temps partiel. Allons voir les différentes données en lien avec le travail.
(Une diapositive décrivant le concept situation d’activité est présentée)
Avant de commencer ce que vous avez à l'écran ici c'est la situation d'activité. La variable situation d'activité nous dit que si une personne est occupée, si elle travaillait ou en chômage ou était inactif durant la période de référence. Nous pouvons décomposer l'univers des personnes âgées de quinze ans et plus dans les ménages privés en deux principaux groupes, la population active et les inactifs. La population active qui comprend les personnes qui étaient occupées soit occupés ou en chômage durant la période du 2 au 8 mai 2021, soit la semaine de référence.
Et à l’inverse, on va rajouter à la population active les personnes inactives qui sont décrites comme les personnes qui étaient inoccupées ou pas au chômage durant la semaine de référence.
(Une diapositive continue sur le concept situation d’activité est présentée)
Voici un diagramme qui résume un peu les différents concepts ou les différentes catégories ou les personnes peuvent se retrouver dans la population active. On vous l'a mis ici à titre de référence. Si jamais vous avez besoin d'un accès rapide, vous les avez toutes ici.
(Une diapositive présentant le concept de catégorie de travailleurs et les questions des questionnaires de recensement est présentée)
Dans les catégories de travailleurs. Cette variable est dérivée à partir des questions 48 et 49. Elle nous indique si une personne est un employé ou un travailleur autonome. Pour les travailleurs autonomes, nous pouvons aussi les classer en travailleur familial non rémunérés ou encore en entreprise constituée en société ou pas, et avec ou sans être rémunérés. Cette variable est basée sur l'emploi occupée par le répondant, au cours de la semaine de référence. Pour les personnes qui n'ont pas travaillé pendant la semaine de référence mais qui avaient travaillé quelque part depuis le 1er janvier 2020, cette variable portera sur l'emploi occupé le plus longtemps durant cette période.
(Une diapositive présentant le concept d'industrie et de profession et les questions des questionnaires de recensement est présentée)
Voyons maintenant l'industrie et la profession. L'information sur l'industrie est dérivée directement des questions 44 et 45 où on demandait à la personne pour qui elle travaillait, ainsi que la nature de l'entreprise. L'industrie est définie selon l'activité principale d'une entreprise. Nous l'exprimons en utilisant la classification des industries de l’Amérique du Nord, donc le SCIAN. Canada, la version 2017.
Pour les fins de recensement, les données sur l'industrie sont disponibles jusqu'au niveau du quotidien à quatre chiffres. Il n'est pas possible d'obtenir plus de détails, même si la classification permet d'aller jusqu'à une codification jusqu'au niveau du six chiffres du SCIAN. En ce qui concerne la profession, les données sont dérivées de la question 46 et la question 47 où on demande à la personne, quel était son travail ou son occupation pour ce travail ou occupations et quelles étaient les activités principales. La profession se réfère au genre de travail qu'une personne exécute dans le cadre de son emploi. Elle peut être définie à travers les tâches, les fonctions et les responsabilités, etc. Les professions sont généralement homogènes, quant au genre de compétences, au niveau de compétence qui requiert pour ces différentes professions. Pour les données de 2021 sur la profession, nous avons publié les données en fonction de la classification nationale des professions.
Donc la CNP avec la version de 2021. En comparant avec la CNP de 2016 et la CNP de 2021, il faut noter qu'il y a eu des révisions majeures entre les deux versions, y compris l'ajout d'appellations, d'emplois nouvelles ou émergentes. Ces changements font en sorte que la correspondance entre les deux versions n'est parfaite qu'à peu près 80% du temps. Il faut faire très attention si vous voulez faire des comparaisons avec les données que vous avez déjà préalablement extraites par le passé en utilisant la version du CNP de 2016.
(Une diapositive continue sur le concept de l'industrie et de la profession et sur les questions des questionnaires de recensement est présentée)
Pour les deux variables, nous avons le même univers, soit les personnes âgées de quinze ans et plus qui ont travaillé depuis le 1er janvier 2020. L'industrie et la profession sont basées sur l'emploi occupé par les répondants au cours de la semaine de référence. Les personnes qui n'ont pas travaillé pendant la semaine de référence mais qui avaient travaillé quelque part depuis le 1er janvier 2020. L'industrie et la profession porteront sur l'emploi occupé le plus longtemps durant cette période-là.
(Une diapositive présentant la variable travail pendant l’année référence est présentée)
En ce qui concerne la variable travail pendant l'année de référence. Elle est dérivée à partir de trois questions. La question 43.
On demande quand cette personne a travaillé la dernière fois. La question 54 a), combien de semaines elle a travaillé en 2020? Et la question 55 a), pendant la plupart de ces semaines, cette personne a-t-elle travaillé à temps plein ou à temps partiel? Ainsi, pour les personnes qui ont travaillé, nous pouvons connaître le nombre de semaines travaillées pendant l'année de référence. Mais on peut aussi pour ces semaines travaillées, savoir si c'était à temps plein. Par temps plein, on entend 30 heures et plus par semaine ou à temps partiel, soit moins de 30 heures par semaine. Le terme travaillé toute l'année désigne un emploi qui a duré entre 49 et 52 semaines, durant l'année de référence. Quand on entend ou quand on lit qu'une personne ayant travaillé toute l'année à temps plein, ça veut dire que cette personne âgée de quinze ans et plus qui a travaillé à un emploi salarié ou à son compte de 49 à 52 semaines, surtout à temps plein en 2020.
Quand on dit surtout à temps plein, c'est parce qu'on fait référence aux différentes semaines qui a été travaillé dans et qui ont surtout été fait à temps plein donc, plus de 30 heures semaine.
(Une diapositive montre un graphique du taux de participation à la population active par groupes d'âge en 2016 et 2021)
(Une diapositive présentant les concepts des nouvelles variables du travail et les questions des questionnaires de recensement est présentée)
Deux nouveautés pour 2021. La raison principale pour ne pas avoir travaillé pendant toute l'année. Donc, la population, ici, elle est dérivée directement de la question 54 b). Les réponses qu'on pouvait, que les gens pouvaient fournir pour nous expliquer pourquoi ils n'ont pas travaillé à temps plein pendant toute l'année. Ce sont vraiment différentes options qu'ils peuvent choisir. Maladie ou incapacité de cette personnes, grossesse ou congé de maternité ou parental, fréquentation à l'école le congé pour l'université par exemple, ou en étant en formation. On peut aussi choisir parce qu'elle devait s'occuper de ses enfants ou de quelqu'un, d'un membre proche de la famille ou était incapable de trouver du travail qui dure toute l'année ou était à la retraite. Ses choix faisaient des choix personnels aussi, faisaient du travail saisonnier ou toute autre raison qui était valable pour eux. Ils étaient invités à les inscrire dans le questionnaire du recensement en ce qui concerne les raisons principales pour avoir travaillé surtout à temps partiel.
Encore une fois, les réponses découlaient de la question 55 b) et c’étaient les mêmes différents exemples de choix qu'on pouvait choisir encore ici. Parce qu'il fréquentait l'école, un collège, une université, situation économique, devait s'occuper de son enfant ou de quelqu'un de proche maladie, incapacité, etc.
(Une diapositive montre un graphique du taux de participation à la population active par groupes d'âge en 2016 et 2021)
Voici maintenant quelques données en lien avec le travail publié la semaine dernière. Donc le graphique que vous avez à l'écran se résume parfaitement bien avec son titre.
Donc, baisse du taux d'activité, principalement en raison de ceux qui prennent leur retraite parmi l'importante génération du baby-boom, alors que le taux relativement stable et relativement stable dans les autres groupes d'âge. En fait, le taux global d'activité a diminué à chaque recensement depuis 2006, en raison du vieillissement de la population, principalement due à la génération du baby-boom. Cette tendance s'est poursuivie entre 2016 et 2021, avec un taux ayant diminué de 65,2% en 2016 à 63,7% en 2021. Depuis le dernier recensement, plus de 1.4 millions de canadiens se sont joint aux rangs des personnes âgées de 55 ans et plus. Le taux d'activité dans les groupes d'âge plus élevés a augmenté, mais pas suffisamment pour compenser l'importante pression à la baisse exercée par le vieillissement de la population.
Le taux d'activité global devrait continuer à diminuer au cours des prochaines années, jusqu'en 2036. Selon tous les ensembles d'hypothèses au niveau de l'immigration future.
(Une diapositive montre une infographie sur la proportion d’immigrants au sein de la population active du principal groupe d’âge actif, 2006 et 2021)
Bien que l'immigration ne puisse pas compenser entièrement les effets du vieillissement de la population canadienne, elle constitue une importante source de talents pour la population active canadienne.
En 2021, les immigrants représentaient la plus grande part en constituant plus du quart de la population active d'âge moyenne. Ceci est une progression constante depuis 2006 pour l'ensemble des immigrants, qu'ils soient des immigrants récents, représentés en bleu à l'écran d'ici ou moins récents. Représentant pêche ou vert forêt, comme vous avez à l'écran.
(Une diapositive montrant une carte du Canada avec la proportion d'immigrants d'âge actif dans la population active dans les régions métropolitaines de recensement en 2021 est présentée)
Au Canada en 2021, la proportion d'immigrants au sein de la population active du principal groupe d’âge actif était de 27,7%. Quand on regarde au niveau des différents arrivants dans des régions métropolitaines de recensement avec les plus grandes proportions, c'est à Toronto, à Vancouver ou les immigrants représentaient environ la moitié de la population active d'âge moyenne. Plus précisément, c'était 51,8% à Toronto et 46,2%, à Vancouver. À l’inverse, c’est au Saguenay et à Drummondville ou la proportion était la plus faible, 5% pour Drummondville et seulement 2,2% pour le Saguenay.
(Page de titre du thème Langue utilisée au travail)
Maintenant, nous allons passer aux variables et les concepts en lien avec les langues utilisées au travail. La question sur la langue de travail, la question 50, a été divisée en deux parties.
(Une diapositive présentant les variables relatives à la langue utilisée au travail et à la question posée dans les questionnaires de recensement est présentée).
Dans cet emploi, donc la partie a) dans cet emploi. Quelle langue cette personne utilisait-elle régulièrement? Et à la partie b) on demandait, parmi ces langues laquelle cette personne utilise le plus souvent dans cet emploi. La langue utilisée le plus souvent au travail en 2021, c'est la première partie de la question 50, donc la partie a) qui demandait de déclarer toutes les langues utilisées régulièrement au travail. Les personnes qui n'ont pas indiqué le français seulement, ni l'anglais seulement, ont été invitées à préciser par la suite. À la question 50 b), laquelle qui était utilisée le plus souvent. Cette question diffère un peu de la version qui a été posée au recensement antérieur, donc celui de 2016, qui demandait aux répondants de déclarer d'abord la langue qu'ils utilisaient le plus souvent au travail. Puis toutes les autres langues utilisées régulièrement au travail, par après. À partir des réponses, la question 50 a) et b), on pouvait regrouper les langues selon trois variables que vous avez à l'écran. Toutes les langues utilisées au travail, la langue utilisée le plus souvent au travail et ainsi que toutes les autres langues utilisées régulièrement au travail.
(Une diapositive montrant un graphique du pourcentage d'anglais et de français utilisés régulièrement au travail)
Alors qu'il y avait quelques mois, nous faisions état d'une diversité toujours plus grande dans les langues parlées à la maison, donc près de 99% des travailleurs utilisent le français ou l'anglais comme langue le plus souvent utilisé au travail.
Dans le Canada, dans son ensemble, plus de trois travailleurs sur quatre utilisaient principalement l'anglais et un sur cinq utilisait principalement le français. L'anglais était régulièrement utilisé par plus de 80% des travailleurs, tandis qu’un sur quatre utilisaient régulièrement le français. Parmi eux, certains utilisait à la fois l'anglais et le français. Bien entendu, les résultats diffèrent selon les provinces et les régions.
(Une diapositive montrant un tableau de la principale langue utilisée au travail au Québec est présentée)
Afin de diminuer le fardeau de réponse et améliorer la qualité des données, l'ordre des questions sur les langues de travail a été modifié pour 2021. Les données portant sur les langues utilisées le plus souvent ou principalement au travail, peuvent être comparées avec celles des recensements précédents, en considérant la distribution complète des réponses uniques et multiples. Cependant, les données sur les autres langues utilisées régulièrement ou en d'autres termes les langues parlées de manière secondaire au travail ne devraient pas être comparées.
Au Québec, par rapport à 2016, l'utilisation principale de l'anglais au travail était en hausse pour atteindre 14%. Cette hausse observée résulte d'une partie du changement apportée à la question sur la langue de travail. Ce changement mène les travailleurs à déclarer moins fréquemment une utilisation du français et de l'anglais à égalité et à déclarer plus fréquemment une utilisation principale d'une seule de ces deux langues là. De façon correspondante, la stabilité apparente dans les taux d'utilisation principale du français doit plutôt être interprétée comme une certaine tendance à la baisse. En 2021, 80% des travailleurs du Québec utilisaient principalement le français. Cela dit, au Québec, on note une diminution relative de l'utilisation principale du français, notamment dans les secteurs de la finance, des assurances.
C'est passé de 74,3% à 71%. Ainsi que dans le secteur des services professionnels, scientifiques et techniques ou elle est passée de 69,2% à 65,7%. Ces secteurs en croissance étaient déjà parmi ceux où l'usage principal du français était le plus bas en 2016.
Dans la région métropolitaine de Montréal, 70% des travailleurs utilisaient principalement le français au travail, soit une proportion presque identique à 2016, alors que 21% utilisaient principalement l'anglais, contre 17,9% en 2016. Parmi les travailleurs de la région métropolitaine de Montréal qui parlaient de façon prédominante à la maison, une langue autre que le français ou l'anglais, la moitié, donc 49% avaient le français comme langue principale au travail, et c'était l'anglais pour un peu plus du tiers.
(Diapositive de la page de titre du thème navettage)
Maintenant, abordons les différents concepts et variables concernant le navettage.
(Une diapositive présentant le concept de statut du lieu de travail et la question figurant sur les questionnaires de recensement est présentée)
La population âgée de quinze ans et plus dans les ménages privés qui avaient un emploi ou était absent de leur emploi ou de leur entreprise pendant la semaine de référence qui était le 2 mai au 8 mai 2021, et la population pour laquelle ces variables sont utilisées. La catégorie de lieu de travail fait référence à l'endroit où la personne travaille. Une personne peut soit travailler à domicile, y compris à la ferme.
Pour ces personnes-là, on va inclure le lieu de travail et la résidence qui se trouve dans le même immeuble. Celle qui habitait la ferme ou elle travaillait et les travailleurs qui travaillaient à domicile pendant la plus grande partie de la semaine de travail. On pouvait aussi exprimer la catégorie de lieu de travail qui soit à l'extérieur du Canada. Ce sont les personnes dont le lieu de travail est à l'extérieur du Canada, notamment les diplomates, les membres des forces armées et les autres personnes dénombrées à l'étranger. Et on pouvait aussi exprimer les personnes qui sont sans adresse de travail fixe. Ces personnes qui ne se rendent pas dans un même lieu de travail au début de chaque quart, notamment les entrepreneurs en bâtiment, les entrepreneurs paysagistes, les représentants des commerces, les chauffeurs de camions indépendants, etc. Et finalement, la dernière catégorie possible était à l'adresse précisée. Un lieu de travail habituel. Ces personnes ne sont pas inclues dans les autres catégories que je viens de mentionner. Et ces personnes-là débutent un quart de travail normalement, dans une adresse précise ou on leur demandait de nous fournir un numéro civique, la ville, le village, etc. la province.
Lorsque la personne ne connaissait pas l'adresse complète, elle pouvait nous fournir uniquement le nom de l'immeuble ou de l'intersection la plus proche. Les télétravailleurs, qui passaient moins que la moitié de la semaine de travail à leur bureau ou à domicile, devaient donner l'adresse complète de leur employeur. Les personnes qui travaillaient à des endroits différents mais qui se présentaient à un siège social au début de chaque quart devaient donner aussi l'adresse complète du siège social.
(Une diapositive présentant le concept de mode de transport principal et la question des questionnaires de recensement est présentée).
Le principal mode de transport pour la navette désigne le moyen de transport principal utilisé par une personne pour se rendre à son lieu de travail, la question 52b fournissait une liste de choix pour laquelle la personne devait choisir qu'une seule réponse puisqu'on demandait du mode de transport principal et utilisé habituellement. Cette question s'applique pour les personnes âgées de quinze ans et plus ayant un emploi durant la semaine de référence, bien entendu, et qui ont déclaré avoir un lieu habituel de travail ou ne pas avoir d'adresse de travail fixe.
(Une diapositive décrivant les variables supplémentaires pour le thème du navettage est présentée)
Ils sont également disponibles pour le thème du navettage. Vous avez ici à l'écran quatre variables, la durée du navettage, la distance en ligne droite du domicile au travail ainsi que le nombre de personnes, de navetteurs dans le véhicule et la destination du navettage.
(Une diapositive montre un graphique des données sur les déplacements domicile-travail disponibles pour chaque statut de lieu de travail)
À l'écran, si on vous a fourni un petit récapitulatif des différentes variables selon les différentes catégories des lieux de travail. Avec ce tableau, vous pouvez voir ce qui est disponible et ce qui n'est pas disponible selon les différentes catégories du lieu de travail. On vous laisse en main comme outil de référence si vous avez besoin de vous de vous y référer.
(Une diapositive montre une infographie sur les déplacements domicile-travail au Canada en 2021)
Il fallait bien s'y attendre, faire un recensement en pleine pandémie aurait un impact certain sur les données du navettage au Canada. En mai 2021, au cours de la troisième vagues de la pandémie, 4 200 000 de personnes ou presque un quart des travailleurs travaillaient habituellement à domicile comparativement à 1 300 000 ou seulement 7,4% à la même période cinq ans plus tôt au mois de mai 2016, avec l'augmentation du travail à domicile, le nombre de navetteurs a diminué de 2 800 000 entre 2016 et 2021, ce qui a eu des répercussions majeures sur tous les principaux modes de transport pour se rendre au travail, la voiture, le transport en commun, marche et vélo, etc. De ces modes, c'est le transport en commun qui en a le plus perdu, avec une réduction de 50% passant de 2 000 000 en 2016 à 1 000 000 en 2021 ce qui est compréhensif compte tenu de la covid de la distanciation sociale qui était de mise à cette époque.
(Page de titre du thème instruction dans la langue officielle minoritaire)
Finalement, dernière thème pour le webinaire d'aujourd'hui l'instruction de la langue officielle minoritaire.
(Une diapositive montrant une vue d'ensemble de l'instruction dans le concept de langue officielle minoritaire est présentée)
Pour la première fois, nous avons ajouté cinq questions sur la langue d’instruction au recensement. Elles ont pour but de recueillir des données sur le nombre d'enfants qui sont admissibles à l'instruction dans la langue officielle minoritaire en fonction des critères énoncés à l'article 23 de la charte canadienne des droits et des libertés. La langue officielle de la minorité désigne l'anglais au Québec et le français dans le reste du Canada. Les renseignements qui sont recueillis à l'aide de ces nouvelles questions sont utilisés en combinaison avec d'autres renseignements existants sur le recensement. Comme la première langue apprise ou encore comprise les liens familiaux entre les personnes vivant dans les mêmes ménages et le lieu de résidence afin d'obtenir le nombre d'enfants qui sont admissibles à l'instruction dans la langue officielle de la minorité. Les différents critères d'admissibilité pour l’instruction dans la langue officielle minoritaire.
(Une diapositive montrant les critères d’admissibilité pour l’instruction dans la langue officielle minoritaire est présentée)
Les critères sont différents si le lieu de résidence est au Québec ou si le lieu de résidence est au Canada hors Québec. Pour un enfant dont le lieu habituel de résidence se trouve au Canada hors-Québec, le jour du recensement est considéré comme admissible à l'instruction dans la langue minoritaire officielle, c'est à dire en français, si au moins un des critères suivants est respecté, dont vous avez les quatre critères à l'écran.
Un, au moins un des parents de l'enfant a le français comme langue maternelle, deux, au moins un des parents de l'enfant fréquente ou a fréquenté un programme régulier d'instruction en français dans une école de langue française ou primaire au Canada. Trois, l'enfant fréquente ou a fréquenté un programme régulier d'instruction en français dans une école de langue française, au primaire ou secondaire au Canada et quatre, un frère ou une sœur de l'enfant fréquente ou a fréquenté un programme régulier d'instruction en langue française dans une école de langue française, au primaire ou au secondaire au Canada.
(Une diapositive continue sur les critères d'admissibilité est présentée)
À l'inverse, pour un enfant dont le lieu habituel de résidence est au Québec, est considéré comme admissible à l'instruction dans la langue officielle minoritaire ici, ça va être l'anglais. Si au moins un des critères suivants est respecté, ici on n'a pas quatre critères, on a juste trois critères. Un, au moins un des parents de l'enfant fréquente ou a fréquenté une école de langue anglaise au primaire au Canada. Deux, l'enfant fréquente ou a fréquenté une école de langue anglaise au primaire ou secondaire au Canada. Et trois, un frère ou une sœur de l'enfant fréquente ou a fréquenté une école de langue anglaise au primaire ou secondaire au Canada. Vous l'avez remarqué, on a trois critères et non quatre.
C'est le critère au moins un des parents de l'enfant a le français comme langue maternelle, qui a été appliqué pour les enfants hors Québec qui n’est pas applicable ici pour les enfants du Québec.
(Une diapositive présentant les nouvelles questions relatives à l'instruction dans la langue officielle minoritaire dans les questionnaires de recensement est montrée)
Dans les questions ce sont les cinq nouvelles questions qui sont introduites pour la langue d'instruction, les questions 13 à 16 sont seulement posées réservées aux résidents ou aux répondants vivant hors du Québec. À la question 13 on demande si cette personne a fait des études primaires ou secondaires en français. Si oui, on vous demandait ensuite à la question quatorze dans quel type de programmes ces études en français ont été éffectuées.
(Une diapositive continue sur les nouvelles questions pour l'instruction dans la langue officielle minoritaire sur les questionnaires de recensement est montrée)
À la question 15, dépendamment de ce que vous avez répondu à la question 14, si vous aviez répondu un programme régulier d'instruction en français dans une école de langue française ou si vous avez répondu, les deux types de programme ou tout autre programme, vous étiez invités à répondre à la question 15 qui demandait le nom d’année que cette personne a fréquentée un programme régulier d’ instruction en français dans une école de langue française?
Dans les réponses, il fallait inscrire le nombre d'années tant au primaire qu'au secondaire si c'était le cas.
(Une diapositive continue sur les nouvelles questions pour l'instruction dans la langue officielle minoritaire sur les questionnaires de recensement est montrée)
Les questions 16 et 17 sont uniquement posées aux résidents du Québec, les patients qui vivent au Québec. La question 16 on demandait si cette personne a fait des études primaires ou secondaires dans une école de langue anglaise. Si oui, à la question 17 on demandait le nombre d'années que cette personne a fait dans des études dans une école de langue anglaise.
Ici aussi, il fallait inscrire le nombre d'années au primaire ou le nombre d’années au secondaire selon ce qui était applicable. Les réponses de ces questions-là 13 à 17 nous permettent de dériver des différentes variables suivantes.
(Une diapositive décrivant les variables supplémentaires pour l'enseignement dans la langue officielle minoritaire est présentée)
Vous avez à l'écran l'admissibilité à l'instruction dans la langue officielle minoritaire, les études au primaire et au secondaire dans la langue officielle minoritaire au Canada.
Ici on pouvait avoir la fréquentation scolaire, le type de programme ainsi que le niveau de l'instruction et on pouvait aussi avoir le nombre d'années d'études au primaire et au secondaire. Il s'agit de deux variables séparées, une pour le primaire et une pour le secondaire, et ainsi qu'une dernière variable qui permettait de calculer le total des années d'études au primaire ou secondaire dans un programme régulier d'instruction en français dans les écoles de langue française au Canada.
(Une diapositive montrant une carte du Canada avec le nombre et le pourcentage d'enfants de moins de 18 ans éligibles à l'instruction dans la langue officielle minoritaire en dehors du Québec en 2021 est présentée)
Au Canada, près d’un enfant sur huit, soit 897 000 enfants étaient admissible à l'instruction primaire et secondaire dans la langue officielle minoritaire de ces presque 900 000 enfants 300 000 étaient des enfants admissibles à l'instruction en anglais au Québec et 600 000 étaient des enfants admissibles à l'instruction en français au Canada hors Québec.
Parmi ces enfants, plus de 215 000 étaient âgés de moins de cinq ans, alors que 682 000 étaient âgés entre 5 et 17 ans, ce qui correspond généralement aux âges ou les enfants ont fréquenté l'école primaire ou secondaire. Le nombre et la proportion des enfants âgés de moins de 18 ans qui sont admissibles à l'instruction dans la langue officielle minoritaire sont fortement liés à la répartition géographique et du poids démographique des communautés francophones en situation minoritaire au Canada hors Québec ou des communautés d'expression anglaise au Québec.
Les enfants admissibles à l'instruction dans la langue officielle minoritaire sont plus nombreux en Ontario et au Québec et représentent plus du tiers des enfants du Nouveau-Brunswick.
(Une diapositive montrant une carte du Canada avec le nombre et le pourcentage d'enfants de moins de 18 ans éligibles à l'instruction dans la langue officielle minoritaire en dehors du Québec en 2021 est présentée)
Plus des deux tiers des enfants d'âge scolaire admissibles à l'instruction dans la langue officielle minoritaire ont reçu l'instruction dans cette langue au fil de leur parcours scolaire au moment du recensement, cette proportion était plus élevée au Nouveau-Brunswick avec 80,6% suivie du Québec avec 76,2% et du Yukon avec 71% alors qu'elle était plus faible en Colombie-Britannique avec 55,7% à Terre-Neuve-et-Labrador 54,2% et en Alberta 49,6% ou environ la moitié des enfants admissibles avaient fréquenté une école de langue française.
Plusieurs facteurs peuvent expliquer que certains enfants admissibles n'aient pas fréquenté le programme d'instruction dans la langue officielle minoritaire par chez eux, parmi celles-ci, notons le choix des parents ou encore la distance entre le domicile et l'école la plus proche, par exemple.
(Diapositive de titre tour du site web)
Ceci fait le tour de la présentation PowerPoint avec les concepts et les différents faits saillants. Ce que je vais faire maintenant, je vais aller sur le site internet pour vous montrer les différents produits et les tableaux de services que nous avons offert la semaine dernière. Juste quelques petites secondes.
(La page principale du recensement de la population du site web de Statistique Canada est affichée)
Est-ce que vous pouvez confirmer que vous voyez bien le site de StatCan? -Oui, on voit bien la page principale de notre siteweb, Thérèse. -Merci, à partir de la bande bleue en haut, on va aller cliquer sur recensements et recensements de la population. Voilà à partir d'ici, à partir de la page principale du recensement, je vous invite à voir ici la petite banderole avec les différents onglets. Vous avez l'onglet pour les données, l'onglet pour les analyses du recensement, préférences, thèmes, géographie. Bien entendu, le recensement de l'agriculture, c'est quelque chose qui peut vous intéresser.
Dans l'onglet données, le nom l'indique, ce sont tous les types de données qui existent. L'onglet analyse, c'est là que vous allez retrouver tous les articles et les faits saillants, les publications dans le quotidien etc.
Dans l'onglet références lorsque vous avez trouvé tous les outils de référence comme les dictionnaires, les guides de références, les classifications, etc. Si vous voulez rechercher les données ou tous ces différents produits là que je viens de vous mentionner, vous pouvez aussi le faire par thèmes si vous voulez avoir une recherche plus centrée sur le thème. Ce que je vais faire en premier, je vais simplement vous descendre un petit peu plus bas dans la page et vous montrer à partir d'ici à côté d'une nouvelle du recensement. Cliquez sur le bouton ici, voir le plan de diffusion.
(La page des plans de diffusion du recensement de la population de 2021 du site web de Statistique Canada est affichée)
Ce que je voudrais simplement attirer votre attention ici, c'est au niveau des différents produits qui restent encore à être diffusés. Bien entendu, nous avons fini la série de diffusion des thèmes du recensement, mais encore quelques produits qui ne sont pas encore finalisés. Ils vont venir au courant de l'hiver 2023 et de l'été 2023. Je vous invite à les consulter si jamais c'est quelque chose qui peut vous intéresser. Je vais revenir à la page principale du recensement.
(La page Produits de données, Recensement de 2021 du site web de Statistique Canada est affichée)
Première chose que je vais aller voir avec vous c'est au niveau des données. On va aller voir un profil de recensement.
(La page Produits de données, Recensement de 2021 du site web de Statistique Canada est affichée)
Ici pour la fin de l'exercice, je vais écrire Halifax par exemple et cliquer sur recherche et choisir la bonne géographie que j'ai besoin, disons que je veux la ville de Halifax.
(La page de profil du Recensement de la population de 2021 pour Halifax du site web de Statistique Canada est affichée)
Je vais cliquer ici subdivision de recensement Halifax, le profil a beaucoup beaucoup d'informations, toutes les variables du recensement mais énumérées l'une après l'autre et non pas de façon croisée entre elles.
Dans un profil ce que vous pouvez voir ici le curseur, il est très petit, on peut descendre très loin dans le tableau, pour filtrer au lieu de devoir défiler le tableau, comme ça pour trouver l'information dont vous avez besoin, vous pouvez simplement cliquez sur l'onglet ajouter ou enlever des données et sélectionner les différentes variables ou différents thèmes qui vous intéressent. Par exemple, ici, je pourrais au lieu d'avoir tout le profil je pourrais simplement sélectionner la langue au travail ici et sélectionner les différentes variables qui m'intéressent en lien avec la langue au travail et ensuite cliquez sur appliquer. Le profil me permet aussi de sélectionner jusqu'à cinq géographiques que je pourrais afficher côte à côte pour les voir ensemble, pour faire des comparaisons. Vous avez ici, les différentes variables et différentes données qui nous avons choisi en lien avec la langue utilisée au travail. Ceci est pour le profil, je vais maintenant reculer pour les produits de données.
(La page Produits de données, Recensement de 2021 du site web de Statistique Canada est affichée)
Ce qu'on vient de voir, c'est le profil, nous pouvons aussi aller jeter un coup d'œil dans les différents tableaux.
(La page Tableaux des données, Recensement de 2021 du site web de Statistique Canada est affichée)
Au niveau des tableaux, la différence avec le profil, c'est vraiment au niveau ou ce que dans les tableaux de données, on peut croiser différentes variables entre elles pour avoir vraiment beaucoup plus d'informations, beaucoup plus détaillées au niveau des sous-groupes de population par exemple.
Ici, je veux juste prendre le plus haut niveau de scolarité. Ok, le plus haut niveau de scolarité selon la géographie.
(La page Tableaux des données, Recensement de 2021, Scolarité du site web de Statistique Canada est affichée)
Ce que vous pouvez voir, c'est le même principe on va pouvoir sélectionner les différentes variables et choisir pour personnifier notre tableau. Par défaut, on va toujours vous donner l'information de façon agrégée. Vous avez un bouton qui est ajouter ou enlever les données si vous cliquez là-dessus et on va pouvoir aller sélectionner les différentes variables qui nous intéressent. Par exemple, au niveau de la géographie, si je veux juste l'information pour l’Alberta par exemple ici et puis je pourrais même sélectionner quelque chose plus petit, Calgary par exemple. Ensuite, dans les statistiques, je peux ensuite faire les différentes sélections que j'ai besoin. J'aimerais avoir la répartition pourcentage et le nombre.
Et ainsi de suite, je peux faire de même pour les différentes variables qui sont composées dans ce tableau. Voilà, disons que le choix me convient, ensuite cliquez sur appliquer et ça va régénérer le tableau au complet avec les différentes options que j’ai choisis et que je peux maintenant afficher à l'écran. J'ai toute l'information que j'ai choisie. Vous pouvez télécharger le tableau à l'écran, je peux télécharger soit ce qui est à l'écran dans ce que j'ai sélectionné ou je peux aussi télécharger le tableau au complet qui va comprendre toutes les géographies, toutes les variables, etc.
(La page principale du recensement de la population du site web de Statistique Canada est affichée)
Je vais retourner au recensement ici, à la page principale, ça couvre la partie des données. Je ne vous ai pas mentionné tantôt mais à l'écran nous avons mis à jour tous les indicateurs clés, la série complète est disponible ici quand vous cliquez sur voir tous les indicateurs.
Je vais descendre un petit peu plus bas et j'aimerais attirer votre attention sur le centre de formation du recensement à l'intérieur d'ici, vous avez les différentes vidéos que nous avons mises en lien avec toutes les différentes diffusions que nous avons fait depuis le début de l'année. Des vidéos qui ne durent pas très longtemps et qui sont très intéressantes pour vulgariser certains concepts qui sont un petit peu plus difficile à comprendre par exemple.
Et avant que je vous laisse, vous avez aussi dans la section visualisation des données vedettes ici, différents outils que vous pouvez utiliser pour avoir des données de façon plus visuelles que ce soit à travers des cartes thématiques ou des explorateurs ici ou l’on peut bouger certaines variables et le graphique ou les tableaux vont se régénérer directement. Sur ça je vous laisse regarder le tout par vous-même. N'hésitez pas à nous contacter si jamais vous avez des questions en lien avec cet outil.
(Le mot-symbole "Canada" est à l'écran)