À peu près à la même époque en 2020, les restrictions liées à la COVID-19 avaient entraîné la fermeture des frontières et limité notre capacité de voyager à l’étranger. Le nombre de voyageurs non-résidents provenant de l’étranger qui sont arrivés aux aéroports canadiens (sauf à l’aérogare 1 de l’Aéroport international de Toronto/Pearson) dotés de bornes électroniques a été plus de sept fois plus élevé en novembre 2021 qu’en novembre 2020. Parallèlement, le nombre de résidents canadiens revenant de l’étranger en passant par ces mêmes aéroports était plus de neuf fois supérieur à celui enregistré en novembre 2020.
Bien que les voyages entre le Canada et les États-Unis aient considérablement augmenté au cours de cette période, depuis lors le variant Omicron a fait des ravages à la fois pour les voyageurs et pour les compagnies aériennes, provoquant des annulations de vols et entraînant de nouvelles restrictions et de nouveaux avis.
En novembre 2021, l’ouverture des frontières terrestres américaines a permis à 347 100 résidents canadiens de rentrer au pays dans des automobiles immatriculées au Canada à des postes frontaliers équipés d’un système automatisé d’inspection, une augmentation par rapport au chiffre de 136 900 observé en novembre 2020. Toutefois, ce nombre représentait moins du cinquième (19,1 %) du 1,8 million de voyages effectués le même mois en 2019.
Bien que les restrictions relatives aux voyages internationaux puissent entraver nos projets de vacances, de telles restrictions accordent la priorité à la santé et à la sécurité des Canadiens. Lorsque le temps sera venu, nous pourrons épousseter nos passeports et retrouver le tourbillon d’activités des voyages internationaux.
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