De nos jours, il y a une journée pour presque tout, y compris les pique-niques. Fort heureusement, nous avons apporté un panier bien rempli de données à vous communiquer sur le sujet. En voici un avant-goût, pour bien démarrer notre pique-nique : environ 1 ménage canadien sur 4 a fait un pique-nique ou un barbecue près de son domicile en 2021.
Les ménages canadiens sont moins susceptibles de faire un pique-nique ou un barbecue près de chez eux qu’avant la pandémie
Nous avons demandé aux ménages canadiens s’ils avaient participé à des activités de plein air près de chez eux en 2021. Un peu moins de 1 ménage sur 4 (24 %) a indiqué avoir fait un pique-nique ou un barbecue près de son domicile, comparativement à 29 % en 2019, avant la pandémie.
À l’échelle du pays, en 2021, ce sont les ménages de la Colombie-Britannique (29 %), de l’Alberta (27 %) et du Nouveau-Brunswick (26 %) qui étaient les plus susceptibles de pique-niquer ou de faire des grillades près de chez eux, et ceux du Québec et de l’Ontario (23 % chacun) qui étaient les moins susceptibles le faire.
La participation à des activités de pique-nique ou de barbecue près de chez soi a diminué dans toutes les provinces, sauf au Nouveau-Brunswick. Les baisses les plus marquées ont été observées en Saskatchewan, où le pourcentage est passé de 36 % à 22 %, et à l’Île-du-Prince-Édouard, où il est passé de 33 % à 25 %.
Les ménages situés près d’un parc ou d’un espace vert public étaient plus susceptibles de faire des pique-niques ou des barbecues
Les ménages dont le domicile était situé près d’un parc ou d’un espace vert public étaient plus de deux fois plus susceptibles d’être allés faire un pique-nique ou un barbecue en 2021 que ceux ne résidant pas près d’un tel endroit (26 % par rapport à 10 %).
Il s’agit d’une légère baisse par rapport à 2019, année au cours de laquelle 30 % des ménages disposant d’un parc ou d’un espace vert public à proximité de leur domicile et 14 % de ceux n’en ayant pas à proximité étaient allés faire un pique-nique ou un barbecue.
Les villes canadiennes regorgent d’aires de pique-nique « vertes »
Le grand avantage du pique-nique, c’est qu’il suffit d’avoir un coin d’herbe ou de terrain plat pour y poser une couverture, et d’un peu de nature à admirer en mangeant.
À l’été 2023, 74,1 % de la superficie des 1 016 plus grandes villes du Canada, soit un peu moins des trois quarts, était classée comme zone verte, comparativement à 72,1 % à l’été 2022.
La « verdure urbaine » est une mesure qui permet d’évaluer l’état de la végétation d’un paysage urbain. La végétation contribue à créer des collectivités plus belles où il fait bon vivre en aidant à assainir l’air, à réguler le climat local, à contrôler le débit de l’eau et à fournir un habitat à la faune, y compris les mammifères, les insectes et les oiseaux.
Selon une analyse de données d’imagerie satellitaire, Kanata (Ontario), Saint-Jérôme et Gatineau (Québec) ainsi que St. John’s (Terre-Neuve-et-Labrador) étaient les grands centres urbains les plus verts à l’été 2023, et tous les quatre affichaient un taux de verdure urbaine de plus de 90 %.
Attention aux coups de soleil!
Une autre étude menée avant la pandémie a révélé que, lors d’une journée de congé estivale typique, entre 11 h et 16 h, un peu plus de la moitié des Canadiennes et Canadiens (54 %) passaient moins de deux heures au soleil.
Parmi les personnes qui passaient au moins 30 minutes au soleil, les femmes étaient environ deux fois plus susceptibles que les hommes d’appliquer un écran solaire sur leur visage (63 % par rapport à 29 %) ou sur leur corps (51 % par rapport à 26 %), tandis que les hommes étaient plus susceptibles que les femmes de porter un chapeau (50 % par rapport à 27 %).
Environ 1 personne au Canada sur 3 a déclaré avoir eu un coup de soleil en 2017, et les hommes étaient plus susceptibles que les femmes d’indiquer en avoir eu un.
N’oubliez pas le panier!
Notre moteur de recherche de données détaillées sur le commerce international permet d’explorer les données sur les paniers tressés en menu détail, jusqu’au type de matière utilisée dans leur conception.
La plupart des paniers en bambou importés au Canada en 2023 provenaient de la Chine (1,7 million de dollars), suivie de loin du Vietnam (373 797 $).
Quant aux paniers en rotin, l’Indonésie (649 287 $) était le principal pays source de ceux-ci, suivie de près du Vietnam et de la Chine.
Les données ne permettent toutefois pas de savoir si ces paniers étaient des paniers de pique-nique ou non, mais il est néanmoins probable que certains aient été conçus ou utilisés à cette fin.
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