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    • L'Enquête sociale générale (ESG) de 2009 révèle qu'un peu plus du quart des Canadiens de 15 ans et plus ont indiqué avoir été victimes d'un crime au cours des 12 mois précédents. Cette proportion était semblable à celle constatée lors du cycle précédent sur la victimisation, qui a été mené en 2004.

    • Sept incidents de victimisation autodéclarée sur 10 étaient de nature non violente. Sur les huit types d'infractions mesurés dans le cadre l'ESG, le vol de biens personnels était le plus courant.

    • Les taux globaux de victimisation avec violence autodéclarée sont demeurés stables entre 2004 et 2009, tout comme les taux d'agressions sexuelles, de voies de fait et de vols qualifiés.

    • Les taux globaux de victimisation des ménages autodéclarée sont aussi demeurés stables entre 2004 et 2009. Toutefois, les vols de véhicules à moteur ont reculé de 23 %, alors que les introductions par effraction se sont accrues de 21 %.

    • En 2009, les taux de victimisation avec violence et de victimisation des ménages autodéclarées étaient plus élevés dans l'Ouest du Canada, en particulier au Manitoba et en Saskatchewan, que dans l'Est du pays.

    • Les Canadiens plus jeunes affichaient des taux de victimisation avec violence plus élevés que les personnes plus âgées. Le taux de violence enregistré par les personnes de 15 à 24 ans était presque 15 fois plus élevé que le taux affiché par les personnes de 65 ans et plus.

    • Un peu moins du tiers (31 %) des Canadiens ayant été victimisés ont signalé l'incident à la police, proportion légèrement en baisse par rapport à 2004 (34 %). Les introductions par effraction et les vols de véhicules à moteur étaient plus susceptibles que les autres types de victimisation d'être portés à l'attention des autorités.

    • En 2009, la vaste majorité (93 %) des Canadiens se sont dits très ou plutôt satisfaits de leur sécurité personnelle par rapport à la criminalité, comme on l'avait constaté lors de l'ESG de 2004.

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