Comprendre et utiliser l'Indice de gravité de la criminalité

L'Indice de gravité de la criminalité (IGC) est une mesure sommaire du volume et de la gravité des crimes déclarés par la police dans une région donnée — une ville, une province ou un territoire, ou le pays.

Cependant, l'IGC n'est pas conçu pour être utilisé seul ni comme indicateur universel de la sécurité communautaire. Ce document met en évidence les origines de l'IGC et souligne l'importance de l'interpréter en complément d'autres sources de données pour mieux comprendre la criminalité dans une région donnée.

Une méthodologie plus détaillée et des publications de référence sont également présentées à la fin de ce document.

Les origines de l'Indice de gravité de la criminalité

Depuis les années 1960, le taux de criminalité traditionnel est utilisé pour comprendre les crimes déclarés par la police dans le cadre du Programme de déclaration uniforme de la criminalité (DUC)Note de bas de page 1.

L'Indice de gravité de la criminalité (IGC) a été mis au point en 2009 comme mesure complémentaire au taux de criminalité traditionnel et aux données sur la victimisation autodéclaréeNote de bas de page 2. Il s'agissait du premier grand changement , en près de 50 ans, à la façon dont Statistique Canada examine les renseignements déclarés par la police.

L'IGC est destiné à être l'une des nombreuses sources d'information qui peuvent être utilisées pour mieux comprendre la nature évolutive de la criminalité au Canada.

La combinaison de renseignements provenant de différentes sources permet de mieux comprendre les problèmes complexes. Par exemple, il existe de nombreuses façons d'examiner la criminalité, notamment à l'aide des données sur les crimes déclarés par la police, des données des tribunaux et des services correctionnels, des données des ressources policières, ainsi que des données d'enquête sur la victimisation autodéclarée et les perceptions à l'égard de la sécurité et de la confiance envers les institutions.

Chaque source offre une façon particulière de comprendre la criminalité et, en combinaison avec d'autres indicateurs et sources d'information, la société.

Mesurer les crimes déclarés par la police à l'aide de l'Indice de gravité de la criminalitéNote de bas de page 3

Le taux de criminalité traditionnel est calculé en additionnant le nombre de crimes déclarés par la police pour une période et une région géographique données, puis en divisant ce total par le nombre d'habitants de la région. Par conséquent, chaque crime a la même incidence sur le taux de criminalité — par exemple, un meurtre a la même incidence qu'un vol.

Généralement, les crimes plus fréquents mais moins graves ont la plus forte incidence sur le taux de criminalité.

Bien que le taux de criminalité traditionnel soit une mesure utile du volume de crimes portés à l'attention de la police au fil du temps, et donc contribuant à notre compréhension de la charge de travail de la police et des demandes sur le système judiciaire, il n'est pas aussi efficace pour refléter les changements concernant les crimes moins fréquents mais plus graves.

L'IGC a été mis au point pour répondre aux limites du taux de criminalité traditionnel, puisqu'il est fondé à la fois sur le nombre et la gravité relative des crimes. Il est utilisé pour suivre les changements au fil du temps.

En fait, il existe trois indices connexes — l'IGC global, l'IGC avec violence et l'IGC sans violence — qui permettent d'examiner différents types de crimes. Un IGC est également calculé pour les jeunes auteurs présumés de crimes.

Mesurer — ou pondérer — la gravité des crimes

Pour calculer l'IGC, on attribue à chaque type de crime un poids qui représente sa gravité relative. Ensuite, le nombre d'affaires déclarées par la police pour un type de crime donné est multiplié par le poids attribué au type de crime en question. Les poids attribués sont fondés sur des renseignements normalisés tirés des données sur les peines imposées par les tribunaux au cours des cinq années précédentesNote de bas de page 4.

Les crimes qui sont plus susceptibles d'entraîner une peine d'emprisonnement et des peines plus longues se voient attribuer un poids plus élevé.

Par exemple : Selon le taux de criminalité traditionnel, un vol de biens a la même incidence sur le taux de criminalité qu'un meurtre. Une affaire de meurtre a donc un poids équivalent à une affaire de vol de biens.

Cependant, selon l'Indice de gravité de la criminalité, le meurtre a un poids de plus de 8 200, tandis que le vol de biens a un poids de 29Note de bas de page 5. Ainsi, l'incidence d'un meurtre sur l'IGC est environ 280 fois plus importante que celle d'un vol de biens.

Selon l'IGC, le meurtre au premier degré a un poids beaucoup plus lourd que le vol de biens, soulignant sa gravité, même s'il se produit beaucoup moins fréquemment. Ainsi, l'IGC reflétera mieux l'incidence d'un changement dans la fréquence des meurtres au premier degré que le taux de criminalité traditionnel, selon lequel ce changement pourrait passer inaperçu.

Autrement dit, l'IGC est l'un des moyens utilisés pour refléter plus précisément les changements dans les cas de crimes plus graves mais moins fréquents dans une région, tandis que les changements dans les crimes moins graves auront moins d'incidence sur l'IGC que sur le taux de criminalité. On obtient ainsi une image plus complète et nuancée de la criminalité, surtout lorsque l'IGC est combiné à d'autres mesures de la criminalité.

L'IGC permet également de comparer les changements en matière de la criminalité au fil du temps et partout au Canada lorsque les circonstances uniques de chaque région sont prises en compte, telles que le nombre d'habitants, la répartition selon l'âge et le sexe, les possibilités d'emploi et les salaires, le niveau d'éloignement et la disponibilité des services, entre autres.

Nous pouvons alors interpréter la variation de l'IGC dans le contexte d'autres indicateurs.

Comme tout indicateur social, économique ou environnemental individuel, d'autres sources d'information complémentaires, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du système de justice pénale, doivent également être prises en compteNote de bas de page 6 pour dresser un tableau complet de la criminalité et de la sécurité dans une région.

L'Indice de gravité de la criminalité a été mis au point en collaboration avec des partenaires et le public et est utilisé pour mesurer les objectifs de développement durable

L'IGC est une mesure normalisée et uniforme de la criminalité et un indicateur clé pour le pays. Il est fondé sur les données normalisées tirées du Programme DUC, un recensement de tous les crimes déclarés par la police au Canada.

Un travail approfondi de consultation et de développement garantit que l'IGC est méthodologiquement solide, facile à comprendre et robuste face aux changements en matière de criminalité.

L'IGC est également un indicateur dans le Cadre d'indicateurs canadien pour les objectifs de développement durablesNote de bas de page 7, une initiative internationale visant à atteindre un avenir plus durable et équitable. C'est aussi un indicateur clé dans le Cadre de qualité de vie pour le CanadaNote de bas de page 8, qui rassemble des données sur le bien-être des Canadiens et des Canadiennes.

À ce titre, l'IGC n'est qu'un élément d'un tableau bien plus vaste qui aide les Canadiens et les Canadiennes à mieux comprendre le pays — sa population, ses ressources, son économie, son environnement, sa société et sa culture.

Principaux éléments à prendre en considération lors de l'utilisation de l'Indice de gravité de la criminalité

À la base, l'IGC est une mesure des crimes déclarés par la police dans une région précise. Il tient compte de la gravité pondérée de chaque crime déclaré, par rapport aux chiffres de population du recensement dans la région, exprimée pour 100 000 habitants.

La variation de la population

Les chiffres de population utilisés pour calculer l'IGC sont dérivés du Recensement de la population effectué tous les cinq ansNote de bas de page 9. Cependant, les populations peuvent être dynamiques, en particulier dans les régions où l'économie est largement tributaire d'une activité saisonnière comme le tourisme, ou de certaines activités commerciales ou de passages frontaliersNote de bas de page 10.

Certaines régions peuvent également connaître une plus grande mobilité de la population en raison de plusieurs facteurs, tels que le marché du travail local, les coûts du logement, l'emplacement (ville, village, région éloignée) et la présence ou l'absence de services communautaires dans ces régions.

Ces caractéristiques de la population doivent également être prises en compte lors de l'interprétation des tendances de la criminalité.

Les crimes non déclarés ne sont pas couverts par l'IGC

Les données sous-jacentes tirées du Programme DUC constituent un recensement de tous les crimes portés à l'attention de la police au Canada.

Les données font l'objet d'une vérification rigoureuse de la qualité et sont fondées sur un manuel de déclaration normalisé pour les statistiques nationales sur la criminalitéNote de bas de page 11.

Cependant, ces données ne permettent pas de rendre compte des crimes qui ne sont pas signalés à la police.

L'IGC est mis à jour régulièrement pour refléter les modifications apportées aux lois et aux peines imposées

Des changements particuliers dans les pratiques policières, les ressources policièresNote de bas de page 12, les campagnes de sensibilisation du publicNote de bas de page 13, les initiatives policières visant à lutter contre des types précis de crimeNote de bas de page 14, et la relation entre le public et la police peuvent également avoir une incidence sur les données du Programme DUC.

Les poids de l'IGC sont régulièrement mis à jour pour refléter les modifications apportées aux lois et aux peines imposées par les tribunaux canadiensNote de bas de page 15.

Les poids utilisés pour calculer l'IGC sont ajustés tous les cinq ans, et la méthodologie sous-jacente employée pour compter les crimes est révisée pour s'assurer que les modifications législatives, ainsi que les changements dans la déclaration des crimes et les pratiques des tribunaux sont pris en compteNote de bas de page 16.

Examiner l'IGC en mettant l'accent sur la diversité

En tant que mesure fondée sur la région, l'IGC ne prend pas en compte les caractéristiques démographiques particulières de chaque région ni la façon dont différents groupes de personnes dans une région peuvent être victimes de préjudice ou de discrimination.

Par exemple, les membres des Premières Nations, les Métis et les Inuit sont depuis longtemps surreprésentés parmi les victimes d'homicideNote de bas de page 17, les victimes de violence autodéclaréesNote de bas de page 18 et dans le système de justice pénaleNote de bas de page 19Note de bas de page 20. Le colonialisme, la dépossession territoriale, la marginalisation socioéconomique et la discrimination systémique ont été identifiés comme des facteurs contribuant grandement à la surreprésentation des Autochtones dans le système de justice pénaleNote de bas de page 21.

Disposition relative aux peines imposées aux Autochtones

Le gouvernement, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire canadiens ont cherché à remédier à la surreprésentation des Autochtones dans le système judiciaire canadien au fil du tempsNote de bas de page 22. Plus précisément, l'alinéa 718. 2e) du Code criminel, ajouté en 1996, prévoit « l'examen, plus particulièrement en ce qui concerne les délinquants autochtones, de toutes les sanctions substitutives qui sont raisonnables dans les circonstances et qui tiennent compte du tort causé aux victimes ou à la collectivité », et ce, avant que le tribunal détermine la peine à infliger.

Cette disposition relative aux peines imposées a été interprétée pour la première fois dans l'affaire R. c. Gladue (l'« arrêt Gladue ») en 1999. Selon la décision de la Cour suprême dans l'arrêt Gladue , les tribunaux doivent tenir compte des circonstances uniques des délinquants autochtones lors de la détermination de la peine. La décision a permis d'établir un cadre pour aider les juges à déterminer la peine à infliger aux délinquants autochtones. Cela a conduit à l'utilisation recommandée des « rapports Gladue », qui fournissent des renseignements de base sur un délinquant pour aider à une détermination de peine appropriée.

Diverses critiques et préoccupations concernant l'application de l'arrêt Gladue ont ensuite été soulevées. En 2012, dans R. c. Ipeelee, la Cour suprême a réaffirmé son engagement envers les principes énoncés dans Gladue, a abordé un certain nombre de critiques et a clarifié des préoccupations. La Cour suprême a également reconnu que le système de justice pénale portait une part de responsabilité dans les infractions discutées dans l'affaireNote de bas de page 23.

Les peuples autochtones rapportent également des niveaux de confiance plus faibles envers la policeNote de bas de page 24 et sont plus susceptibles de déclarer avoir subi de la discrimination lors de leurs interactions avec la police que leurs homologues non autochtonesNote de bas de page 25.

Des appels ont été lancés pour lutter contre le racisme systémique dans les services de police et améliorer la relation entre la police et les peuples autochtonesNote de bas de page 26.

Cependant, les mesures régionales de la criminalité peuvent potentiellement occulter des problèmes systémiques complexes dans une région ou entre différents groupes de personnes, ou elles peuvent refléter ces problèmes sous-jacents.

Par exemple, l'IGC ne tient pas compte du contexte socioéconomique particulier d'une région ou de la présence ou de l'absence de services communautaires qui peuvent influer sur les interventions de la police dans une région donnée.

Il est donc essentiel de considérer un contexte supplémentaire pour mieux comprendre l'expérience vécue des personnes dans la région.

L'avant-propos de la Stratégie canadienne de lutte contre le racismeNote de bas de page 27 reconnaît que les expériences de racisme et de discrimination au sein des communautés racisées et des peuples autochtones peuvent varier. « L'application d'une optique intersectionnelle révèle une image complexe de la façon dont différents groupes et individus sont exclus et lésés. »

Selon la stratégie, « les données et les éléments d'information sont des outils indispensables permettant d'identifier et de traiter les inégalités, et [favorisant] l'action corrective vers l'élimination du racisme et de la discrimination. »

Une étape majeure pour répondre aux demandes croissantes de meilleures données désagrégées afin de mettre en lumière les diverses expériences des personnes en matière de criminalité est l'Initiative de collecte de données déclarées par la police sur les identités autochtones et racisées de Statistique CanadaNote de bas de page 28Note de bas de page 29

L'importance des renseignements supplémentaires et de la contextualisation lors de l'utilisation de l'IGC

Comprendre la criminalité dans une région, et particulièrement l'IGC, nécessite de comprendre les crimes qui touchent la région et les facteurs qui influent sur la criminalité et les signalements.

Chaque année, lorsque les renseignements déclarés par la police sont publiés par Statistique Canada, un ensemble de tableaux de données et d'analyses sont accompagnés de notes de bas de page détaillées et d'explications pour mieux comprendre les changements dans les modèles de criminalité. Ceux-ci sont élaborés en partie grâce à des discussions et des suivis avec les services de police individuels pour mieux comprendre l'évolution des pratiques policières, des initiatives, des tendances locales en matière de criminalité ou d'autres facteurs pertinents partout au paysNote de bas de page 30.

Les articles analytiques publiés par Statistique Canada offrent un contexte supplémentaire concernant les tendances plus larges de la criminalité, telles que les changements dans les crimes contre les biens et les crimes haineux au début de la pandémie de COVID-19, ou l'exploitation sexuelle des enfants en ligne.

Les notes de bas de page dans les tableaux de données et les analyses fournissent des renseignements importants sur les changements dans la législation, les stratégies policières locales, ou les types de crimes complexes commis au moyen de la cybertechnologie ou d'éléments du crime organisé.

Pour des renseignements contextuels supplémentaires au sein et en dehors du système de justice pénale, veuillez consulter les ressources suivantes :

Où obtenir de plus amples renseignements?

Pour obtenir de plus amples renseignements sur l'Indice de gravité de la criminalité et les autres statistiques sur les crimes déclarés par la police, veuillez communiquer avec le Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités à statcan.ccjcss-ccsjsc.statcan@statcan.gc.ca.

Les tableaux de données à divers niveaux géographiques sont également accessibles gratuitement sur le site Web de Statistique Canada.

Les rapports méthodologiques suivants sont accessibles sur le site Web de Statistique Canada ou auprès du Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités (rapports internes) :

  • Cormak, A. et Tabuchi, T. (2020). Updating the Police-Reported Crime Severity Index: Calculating 2018 Weights. Statistique Canada. Document de travail SSMD-2020-01F.
  • Babyak, C., Campbell, A., Evra, R. et Franlkin, S. (2013). Mise à jour des poids de l'Indice de gravité de la criminalité déclarée par la police : Améliorations apportées à la méthodologie. Statistique Canada. Document de travail HSMD-2013-005E.
  • Babyak, C., Alavi, A., Collins, K., Halladay, A. et Tapper, D. (2009). La méthodologie de l'Indice de gravité de la criminalité déclarée par la police. Produit no HSMD-2009-006E/F au catalogue de Statistique Canada.
  • Wallace, M., Turner, J., Babyak, C. et Matarazzo, A. (2009). La mesure de la criminalité au Canada : présentation de l'Indice de gravité de la criminalité et des améliorations au Programme de déclaration uniforme de la criminalité. Produit no 85-004-X au catalogue de Statistique Canada.
Introduction à la Série d’enquêtes sur l’accessibilité, langue des signes québécoise

Vidéo - Introduction à la Série d'enquêtes sur l’accessibilité, langue des signes québécoise

La Série d’enquêtes sur l’accessibilité (SEA) est une série d'enquêtes sociales qui débutent en 2024. Ce projet s'inscrit dans le cadre du Plan d'action sur les données désagrégées qui produit des renseignements statistiques détaillés afin de mettre en évidence les expériences vécues de groupes de population précis, ainsi que des perspectives analytiques enrichies sur divers groupes de personnes.

Statistiques sur le gouvernement

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Centre de données municipales et locales

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Le Centre de statistiques sur le Canada et le monde fournit des informations sur l'activité économique et financière du Canada avec le monde. Il regroupe des données provenant de plusieurs produits de Statistique Canada et les présente dans un seul outil d'analyse interactif.

Recensement de la population

Recensement de la population

Le Recensement de la population dresse un portrait statistique détaillé du Canada et de ses habitants selon leurs caractéristiques démographiques, sociales et économiques.

Brochure - Enquête canadienne sur l'apprentissage et la garde des jeunes enfants

Version PDF (PDF, 1,42 Mo)

Qu'est-ce que l'Enquête canadienne sur l'apprentissage et la garde des jeunes enfants?

L'Enquête canadienne sur l'apprentissage et la garde des jeunes enfants (ECAGJE) permet de recueillir des renseignements auprès des parents et des tuteurs d'enfants (âgés de 0 à 5 ans) sur le mode de garde d'enfants, qu'ils utilisent ou non un service de garde. Cela comprend le coût, le type de services privilégiés et les difficultés qu'ils peuvent éprouver lorsqu'ils cherchent des services de garde des enfants. L'enquête permet aussi de recueillir des données sur la participation au marché du travail des parents et des tuteurs afin de mieux comprendre les liens entre le travail et l'utilisation des modes d'apprentissage et de garde des jeunes enfants.

Les résultats de l'ECAGJE permettront d'éclairer le Plan d'apprentissage et de garde des jeunes enfants pancanadien du gouvernement pour permettre à tous les enfants canadiens de profiter du meilleur départ possible dans la vie.

Pourquoi votre participation est-elle importante?

Votre participation à cette enquête fournira des renseignements aux programmes qui contribuent à garantir que les familles canadiennes ont accès à des services d'apprentissage et de garde des jeunes enfants abordables et de grande qualité.

Quelles sont les principales constatations qui se dégagent des enquêtes précédentes?

Voici quelques-unes des principales constatations qui se dégagent des enquêtes précédentes :

  • 52 % des enfants canadiens de moins de 6 ans ont fréquenté des services de garde d'enfants au début de 2022, en baisse par rapport à 60 % avant le début de la pandémie de COVID-19
  • Au début de 2022, environ 4 parents sur 10 qui utilisaient des services de garde d'enfants ont déclaré avoir eu de la difficulté à trouver de tels services
  • • Raisons courantes du non-recours aux services de garde d'enfants :
    • 38% des parents ou tuteurs préféraient rester à la maison
    • 27% des parents étaient en congé de maternité ou parental
    • 25% des parents ou tuteurs trouvaient le coût des services de garde des enfants trop élevé

Comment répondre à l'enquête?

Vous devez utiliser le code d'accès sécurisé en ligne que vous avez reçu dans votre lettre d'invitation. Pour accéder à l'enquête, rendez-vous à Site Web de la collecte électronique de Statistique Canada.

Le questionnaire de l'enquête devrait être rempli par un parent ou un tuteur qui connaît les dispositions prises concernant la garde de l'enfant du ménage.

Pour de plus amples renseignements, contactez :

Demandes de renseignements généraux
infostats@statcan.gc.ca
1-877-949-9492
ATS : 1-800-363-7629

Si vous utilisez un service de relais assisté par un téléphoniste, vous pouvez appeler pendant les heures normales de travail. Vous n'avez pas besoin d'autoriser le téléphoniste à communiquer avec nous.

Pour en savoir plus à propos de l'ECAGJE, consultez Enquête canadienne sur l'apprentissage et la garde des jeunes enfants (ECAGJE)

Pour les personnes qui présentent des affiches

Les personnes qui présentent des affiches doivent créer, imprimer, transporter, installer et retirer leurs affiches. 

  • Comme nous avons reçu un grand nombre de résumés, nous demandons à toutes les personnes qui présentent des affiches de s’inscrire à la conférence avant le 4 octobre 2024. Celles qui ne se sont pas inscrites à cette date risquent de perdre leur place au profit d’une personne inscrite sur la liste d’attente. 

Création de l’affiche 

  • Les affiches doivent mesurer au plus 4 pi sur 3 pi (c.-à-d. 48 po sur 36 po); 
  • Les affiches doivent être imprimées sur un matériau d’affichage standard (papier ou toile) qui peut être fixé sur un panneau d’affichage conventionnel. Si vous souhaitez utiliser un matériau ou un dispositif d’installation différent, veuillez consulter le comité organisateur à l’avance; 
  • Les affiches peuvent être rédigées dans la langue officielle choisie par la personne qui présente (français ou anglais); 
  • Le langage utilisé doit être simple et les renseignements doivent être présentés de manière claire et accessible. 

Installation 

  • Toutes les affiches doivent être installées le 14 novembre 2024, de 8 h à 8 h 50 (HE); 
  • Le personnel sur place pourra aider les participants et des matériaux seront fournis pour fixer l’affiche sur un tableau. 

Pendant les séances de présentation d’affiches 

  • Les personnes qui présentent des affiches doivent participer à la conférence en personne et rester près de leur affiche pendant les séances d’affichage, le plus possible. 

Retrait 

  • Le retrait des affiches aura lieu le 14 novembre 2024, de 16 h 30 à 16 h 45 (HE); 
  • Toutes les personnes qui présentent des affiches doivent emporter leur affiche hors du site après la conférence. Les affiches laissées sur place seront éliminées.

Dates importantes

Voici un résumé des dates importantes de la Conférence des utilisateurs de données sur la santé de 2024.
Date
8 juillet Début de l’appel de résumés
19 août Ouverture de la préinscription
22 août Date limite pour envoyer les résumés
9 septembre Envoi des résultats des résumés
20 septembre Fin de la préinscription
18 octobre Date limite pour les annulations anticipées (remboursement complet moins des frais administratifs de 30 $)
1er novembre Clôture des inscriptions
8 novembre Date limite pour les annulations (remboursement de 50 %) et les transferts
14 novembre Conférence

Inscription 

Voici les délais d'inscription et les frais pour la Conférence des utilisateurs de données sur la santé de 2024.
  Type  Frais*  Date limite

Préinscription

Étudiant  125 $ 

20 septembre 2024 

Non-étudiant  225 $ 

Standard

Étudiant  175 $ 

1er novembre 2024 

Non-étudiant  275 $ 

*TPS/TVH en sus

Pour être admissible au tarif réduit pour les étudiants, vous devez être inscrit à temps plein dans un établissement d'enseignement postsecondaire. Une preuve d'inscription peut être demandée.

Pour vous inscrire sur notre liste d'attente, utilisez le lien suivant pour soumettre votre formulaire d'inscription : Conférence des utilisateurs de données de santé 2024 : formulaire d'inscription. Si des places se libèrent, vous en serez informé par courriel et recevrez des instructions supplémentaires.

Veuillez noter que pour les personnes qui s'inscrivent sur la liste d'attente après le 1er novembre, nous ne pouvons pas garantir que les demandes spéciales, y compris celles en lien avec des restrictions alimentaires, pourront être satisfaites.

Paiement 

Une facture sera envoyée à l'adresse courriel indiquée dans le formulaire d'inscription. Nous vous demandons de bien vouloir payer la facture dans les cinq jours ouvrables suivant sa réception par carte de crédit, dépôt direct ou chèque. Nous communiquerons avec vous pour vous donner les détails du paiement une fois que votre inscription aura été soumise. 

Politique d'annulation et de transfert 

Si vous ne pouvez pas participer à l'événement, vous pouvez : 

  1. annuler votre inscription d'ici le 18 octobre pour recevoir un remboursement complet, moins des frais administratifs de 30 $. 
  2. annuler votre inscription d'ici le 8 novembre pour recevoir un remboursement de 50 %.
  3. transférer votre inscription à quelqu'un d'autre avant le 8 novembre, sous réserve de l'approbation du comité organisateur. 

Si vous avez des questions, veuillez envoyer un courriel à l'adresse statcan.hduc-cuds.statcan@statcan.gc.ca. 

Appel de résumés

La date limite de soumission des résumés est passée. Merci à toutes les personnes qui ont transmis leur travail.

Dates à retenir

  • Début de la soumission des résumés : 8 juillet 2024
  • Fin de la soumission des résumés : 22 août 2024
  • Communication des résultats : 9 septembre 2024
  • Tenue de la conférence : 14 novembre 2024

Toutes les personnes qui présentent des affiches doivent être inscrites à la conférence. Elles doivent y assister en personne et rester près de leur affiche imprimée pendant les séances d'affichage.

Si vous avez des questions ou éprouvez des difficultés à transmettre le formulaire, veuillez envoyer un courriel à statcan.hduc-cuds.statcan@statcan.gc.ca.

Programme de la conférence

Le programme de la conférence présente des approches novatrices et collaboratives de l'utilisation des données et de la recherche pour aborder les principaux défis en matière de santé. Il est divisé en quatre thèmes : mobilisation des données durant les situations d'urgence, santé de la population, soins préventifs, et environnement et santé. Du temps est également consacré au réseautage, notamment au moyen de présentations par affiches et de kiosques d'information, qui favorisent l'interaction directe entre les utilisateurs et les fournisseurs de données.

Présidente de la conférence : Josée Bégin, statisticienne en chef adjointe, Statistique Canada

Le jeudi 14 novembre 2024 :

Heure Événement
De 8 h à 8 h 50 Inscription et installation des affiches
De 9 h à 9 h 15 Accueil et mot de bienvenue

André Loranger, statisticien en chef du Canada
Josée Bégin, statisticienne en chef adjointe, Statistique Canada

De 9 h 15 h à 10 h 30

Mobilisation des données durant les situations d'urgence

De 9 h 15 à 9 h 45

Thème central : Créer les conditions pour des communautés résilientes

Conférencière : Theresa Tam (administratrice en chef de la santé publique)

Description : Dre Theresa Tam abordera la façon dont la santé publique peut tirer parti des données pour améliorer l'équité, la résilience du système et l'intervention d'urgence. Elle présentera des stratégies de collaboration avec les communautés et les partenaires de divers secteurs afin de favoriser la santé et la résilience des communautés. Elle mettra l'accent sur le rôle de l'utilisation des données sur la santé publique pour améliorer l'équité en matière de santé, en plaçant l'équité au cœur de la science, des données probantes et de la technologie relatives à la gestion des urgences.

Introduit par : André Loranger, statisticien en chef du Canada

De 9 h 45 à 10 h

Séance 1 : L'Enquête canadienne sur les eaux usées : un nouvel outil de santé publique pour surveiller les maladies infectieuses

Conférencière : Natalie Knox (directrice, division des Pathogènes bactériens, résistance aux antimicrobiens et eaux usées, Agence de la santé publique du Canada)

Description : Natalie Knox discutera du partenariat entre l'Agence de la santé publique du Canada et Statistique Canada pour surveiller les maladies infectieuses au moyen de l'Enquête canadienne sur les eaux usées et de la façon dont elle est en train d'être élargie pour aborder les menaces en matière de santé publique existantes et à venir, comme la résistance aux antimicrobiens (RAM).

De 10 h à 10 h 15

Séance 2 : Médecins légistes et coroners : une source sous-exploitée de données dans le contexte de la crise des opioïdes et au-delà

Conférencier : Matthew Bowes (médecin légiste en chef, gouvernement de la Nouvelle-Écosse)

Description : Matthew Bowes décrira l'investigation médico-légale au Canada : la façon dont elle est habituellement menée, le type de décès faisant l'objet d'une enquête, la façon dont les pratiques varient et le type de données disponibles pour les chercheurs.

De 10 h 15 à 10 h 30

Période de questions

Animateur : Josée Bégin (statisticienne en chef adjointe, Statistique Canada)

De 10 h 30 à 11 h Pause-santé, réseautage et visionnement des affiches et des kiosques
De 11 h à 12 h

Séance plénière : l'approche relative à la santé de la population

De 11 h à 11 h 15

Partie 1 : Tirer parti des données sur la santé de Statistique Canada, une ressource clé

Conférencier : Jeff Latimer (directeur général, Direction de la statistique de la santé de Statistique Canada)

Description : Au Canada, Statistique Canada est la source fiable de renseignements actuels et exacts au sujet de la santé des Canadiens, des déterminants de la santé et de l'utilisation de ressources en matière de soins de santé. Dans cette présentation, M. Latimer donnera un aperçu de l'étendue des données hébergées à Statistique Canada, de la façon d'accéder à ces données et des services disponibles pour personnaliser et coupler des données pour vos recherches.

De 11 h 15 à 11 h 30

Partie 2 : Données désagrégées : progrès et réflexions

Conférencière : Gayatri Jayaraman (directrice générale, Direction de la statistique juridique, de la diversité et de la population de Statistique Canada)

Description : Gayatri Jayamaran discutera des progrès de Statistique Canada dans le cadre du Plan d'action sur les données désagrégées (PADD), qui vise à augmenter et à améliorer les statistiques sur diverses populations et à soutenir des méthodes de collecte de données plus représentatives dans l'ensemble de Statistique Canada.

Discussions en séance plénière : Comment les systèmes de santé peuvent-ils utiliser les données désagrégées pour aborder les disparités en matière de santé?

De 11 h 30 à 11 h 35

Commentaires : Kwame McKenzie (PDG, Wellesley Institute; professeur, Université de Toronto) partagera ses connaissances sur les progrès et les défis liés aux données sur la santé fondées sur la race.

De 11 h 35 à 11 h 40

Commentaires : Danièle Behn Smith (administratrice en chef adjointe de la santé des Autochtones, Bureau de l'administrateur en chef de la santé publique de la Colombie-Britannique) partagera ses connaissances sur les progrès et les défis liés aux données sur la santé des Autochtones.

De 11 h 40 à 12 h

Discussion ouverte

Animatrice : Josée Bégin (statisticienne en chef adjointe, Statistique Canada) 

De 12 h à 13 h Dîner, réseautage et visionnement des affiches et des kiosques
De 13 h à 14 h 30

Application des connaissances pour alléger le fardeau de la maladie

De 13 h à 13 h 20

Séance 1 : Modélisation des effets de la politique nationale de nutrition sur l'alimentation et la santé

Conférencière : Mary L'Abbé (professeure, Université de Toronto, et directrice, Centre collaborateur de l'OMS sur la politique nutritionnelle pour la prévention des maladies chroniques)

Description : Santé Canada exige que les aliments et boissons préemballés dont la teneur en sodium, en sucres ou en gras saturés dépasse les seuils établis présentent un symbole nutritionnel « Élevé en » sur le devant de l'emballage, d'ici janvier 2026. Mary L'Abbé expliquera comment elle a utilisé les données de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes – Nutrition et de l'Enquête sur les dépenses des ménages, appariées aux données sur la composition nutritionnelle, pour modéliser les effets potentiels de ce nouvel étiquetage sur l'alimentation et la santé.

De 13 h 20 à 13 h 40

Séance 2 : Utilisation de la cartographie à petite échelle des cancers évitables pour éclairer et renforcer la prévention du cancer

Conférencière : Nathalie Saint-Jacques (épidémiologiste principale, Programme de soins contre le cancer de Santé Nouvelle-Écosse; professeure auxiliaire, Université Dalhousie; associée de recherche, Healthy Populations Institute de l'Université Dalhousie)

Description : Nathalie Saint-Jacques discutera de ses recherches sur l'analyse à petite échelle de l'incidence du cancer par rapport aux conditions environnementales, matérielles et sociales dans lesquelles vivent les personnes, démontrant la façon dont une approche axée sur la géographie peut éclairer et renforcer des activités équitables de prévention du cancer.

De 13 h 40 à 14 h

Séance 3 : Projection de l'incidence de la démence : le modèle de santé de la population pour la démence (POHEM-démence)

Conférencière : Stacey Fisher (boursière postdoctorale, Institut de recherche de l'Hôpital d'Ottawa)

Description : Stacey Fisher discutera d'un modèle de microsimulation pour la démence qui a été élaboré pour étudier l'effet des facteurs de risque modifiables sur l'incidence de la démence et pour évaluer les stratégies d'interventions potentielles et les options stratégiques.

De 14 h à 14 h 30

Discussion de groupe : Réduire le fardeau de la maladie au Canada : obstacles et possibilités

Animateur : Michael Tjepkema, Directeur adjoint, Division de l'analyse de la santé, Statistique Canada

De 14 h 30 à 15 h Pause-santé, réseautage et visionnement des affiches et des kiosques
De 15 h à 16 h 15

Environnement et santé (« Une santé unique »)

De 15 h à 15 h 30

Thème central : Prendre les devants sur la courbe des changements climatiques : la science pour soutenir l'adaptation du secteur de la santé

Conférencier : Peter Berry (analyste principal des politiques et conseiller scientifique, Bureau des changements climatiques et de la santé, Santé Canada)

Description : Peter Berry discutera de la science actuelle relative aux risques pour la santé, aux vulnérabilités et aux besoins en matière d'adaptation liés aux changements climatiques, dans l'espoir de favoriser à l'avenir les collaborations et les solutions novatrices.

Introduit par : Josée Bégin (statisticienne en chef adjointe, Statistique Canada)

De 15 h 30 à 15 h 45 

Séance 1 : Examen de l'incidence de la chaleur extrême sur la santé : surmortalité et morbidité liées à la température à venir au Canada

Conférencier : Éric Lavigne (épidémiologiste, Santé Canada; professeur auxiliaire, Université d'Ottawa)

Description : ÉricLavigne présentera son travail au moyen de l'analyse de séries chronologiques pour estimer les liens entre les températures quotidiennes et la mortalité ou les hospitalisations dans l'ensemble du Canada jusqu'en 2099, donnant un aperçu des résultats en matière de santé prévus selon divers scénarios de changements climatiques et de croissance de la population.

De 15 h 45 à 16 h

Séance 2 : Utilisation de données de biosurveillance humaine dans l'évaluation des risques pour la santé humaine des substances du Plan de gestion des produits chimiques

Conférencier : Innocent Jayawardene (évaluateur scientifique et chimiste, Santé Canada)

Description : Innocent Jayawardene parlera des points saillants d'une étude de Santé Canada mesurant 12 éléments, dont 5 métaux terreux rares, dans des échantillons de sang entiers au moyen de la biobanque de l'Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS), pour évaluer les risques pour la santé des substances du Plan de gestion des produits chimiques.

De 16 h à 16 h 15

Période de questions

Animatrice : Josée Bégin (statisticienne en chef adjointe, Statistique Canada)

De 16 h 15 à 16 h 30 Mot de la fin : Regard sur l’avenir

Josée Bégin, statisticienne en chef adjointe, Statistique Canada

16 h 30 Fin de la conférence

Conférence des utilisateurs de données sur la santé de 2024

Conférence des utilisateurs de données sur la santé de 2024 - le 14 novembre à Ottawa

Statistique Canada et l'Agence de la santé publique du Canada seront les fiers hôtes de la Conférence des utilisateurs de données sur la santé de 2024 qui se tiendra au Musée canadien de la guerre, à Ottawa, le 14 novembre.

Cet événement d'une journée en personne réunira 150 utilisateurs et utilisatrices, et fournisseurs et fournisseuses de données sur la santé, et son objectif sera d'explorer les façons novatrices et collaboratives dont les données sur la santé sont utilisées pour s'attaquer aux nouveaux problèmes de santé au Canada.

Les participants et participantes auront l'occasion :

  • d'entendre quelques-uns des principaux intervenants et intervenantes qui utilisent ou fournissent des données au Canada, y compris le statisticien en chef du Canada et l'administratrice en chef de la santé publique du Canada;
  • d'en apprendre davantage sur les données et les services de santé de Statistique Canada et sur la façon de les exploiter;
  • de participer à des discussions qui contribuent à façonner l'avenir des données sur la santé;
  • de rencontrer directement des personnes œuvrant dans tous les aspects du pipeline de données, de la conception à l'application, en passant par la collecte;
  • de présenter leurs recherches et d'échanger leurs idées.

Cette conférence s'adresse aux chercheurs et chercheuses et aux analystes de la santé, y compris la population étudiante. Elle s'adresse également aux utilisateurs finaux et aux utilisatrices finales, comme les décideurs et décideuses en matière de politiques et de programmes de santé, des organisations gouvernementales et non gouvernementales.

Si vous avez des questions ou souhaitez figurer sur notre liste de diffusion pour la conférence, veuillez envoyer un courriel à statcan.hduc-cuds.statcan@statcan.gc.ca.

Appel de résumés - Terminé

Lignes directrices et échéance pour la soumission d'un résumé en vue d'une présentation par affiches.

Programme de la conférence

Thèmes, conférenciers et déroulement de la journée.

Inscription – Terminée

Coûts, échéances et processus d'inscription.

Information à l'intention des participants

Renseignements sur l'emplacement et options d'hébergement.

Dates importantes

Résumé des principales dates.

Pour les personnes qui présentent des affiches

Renseignements pour les personnes dont les résumés d'affiches ont été acceptés.