Vidéo - Cartographie semi-automatisée dans QGIS à l'aide du Panneau d'Atlas

Numéro de catalogue : 89200005

Numéro d'exemplaire : 2020016

Date de diffusion : le 24 novembre 2020

QGIS Démo 16

Cartographie semi-automatisée dans QGIS à l'aide du Panneau d'Atlas - Transcription vidéo

(Le symbole de Statistique Canada, le mot-symbole « Canada » et le titre : «  Cartographie semi-automatisée dans QGIS à l'aide du Panneau d'Atlas » apparaissent à l'écran.)

Pour faire suite à la création de cartes dans QGIS, nous allons examiner l'utilisation du panneau Atlas dans le « Mode Page » pour générer rapidement une série de cartes. Le panneau Atlas utilise une couche spécifique pour définir les zones géographiques des cartes résultantes. Aujourd'hui, nous allons l'utiliser pour faire une carte de la dynamique des populations dans les régions métropolitaines de recensement (RMR) partout au Canada, semi-automatisant ainsi le processus de création de cartes.

Les étapes de préparation sont fournies dans la description de la vidéo. Pour les résumer, les procédures de jointure un-à-un ont été utilisées pour relier la table de population à la couche des secteurs de recensement. L'outil de refactorisation des champs a été appliqué pour l'enregistrement sous un fichier permanent. Les types de champs ont correctement été attribués en format numérique. De plus, la couche des secteurs de recensement a été traitée avec l'outil Dissolution à partir du champ « RMRNOM », de façon à créer la « Couche de couverture » de notre atlas. La couleur de remplissage a été réglée à transparent, obtenant ainsi le contour des secteurs de recensement dans notre groupe « Carte principale ».

La couche des subdivisions de recensement unifiées a été exécutée dans l'outil de réparation des géométries, dissoute par l'identificateur unique provincial, puis lancée dans l'outil des morceaux multiples à des morceaux uniques pour s'assurer que toutes les entités correspondaient à des entrées distinctes dans la « Table d'attribut ». En utilisant la calculatrice de champs, les champs des régions ont été ajoutés à la couche ainsi que le polygone « Lacs et rivières ». L'outil de sélection des entités en utilisant une expression a été employé pour organiser en sous-ensembles les entités d'une superficie de plus de 2 500 km2 et de plus de 500 km2, respectivement. Ensuite, les couches de sous-ensembles ont été groupées pour former notre carte en encart.

Les étiquettes appliquées aux couches de couverture et des « Provinces » avaient des paramètres semblables. En résumé, pour la couche de couverture, nous avons spécifié d'effectuer un retour automatique à la ligne au caractère du tiret. Les deux couches avaient un halo autour des étiquettes et l'opacité de celui pour la couche de couverture a été réglée à 75 %. Le positionnement a été réglé à l'horizontale pour garantir la lecture efficace des étiquettes de texte. Dans l'onglet Rendu, les options Afficher uniquement les étiquettes qui rentrent à l'intérieur de l'entité et Éviter que les autres étiquettes ne recouvrent la bordure de l'entité ont été cochées. On a appliqué le plus grand poids. Maintenant, nous pouvons désactiver le groupe des couches de préparation.

Dans la fenêtre du « Mode Page », j'ai utilisé l'outil d'Ajout de formes, plus particulièrement d'ajout de rectangles pour diviser la mise en page de nos éléments de carte, qui ont ensuite été verrouillés dans le panneau des éléments. L'outil d'alignement, situé dans la barre d'outils Actions, a été utilisé pour garantir que les éléments ajoutés soient placés au-dessus des rectangles. De plus, j'ai déjà ajouté la plupart des éléments obligatoires de la carte, y compris les renseignements supplémentaires, la barre d'échelle, la légende et le titre. Pour le titre, il faut utiliser une expression, y compris un préfixe textuel générique entre guillemets simples, suivi de séparateurs verticaux et de la mention « RMRNOM », pour étiqueter par région métropolitaine. Le titre sera mis à jour automatiquement une fois l'atlas généré.

Voici un conseil rapide pour le formatage des éléments : si un contrôle accru était nécessaire, on pourrait utiliser les outils d'impression d'écran ou de capture d'écran pour exporter, formater à l'externe et rajouter les éléments, comme la légende, les diagrammes ou la table, sous forme d'images.

Cela dit, il manque toujours la flèche nord. Plutôt que d'utiliser la fonction d'ajout de flèches ou d'ajout d'une nouvelle étiquette, utilisons la fonction d'ajout d'une nouvelle image. Cliquez-glissez pour positionner l'élément dans la mise en page, puis agrandissez les répertoires de recherche dans le panneau des propriétés des éléments. Une fois le chargement terminé, sélectionnez l'icône que vous voulez. Nous allons changer la couleur du remplissage pour une plus foncée, pour garantir une visibilité contrastante avec la « Carte principale ». Après avoir cliqué sur « Retour », nous allons également changer le positionnement pour Milieu.

Maintenant, nous pouvons ajouter les deux cartes simultanément en plaçant la « Carte principale » dans la plus grande zone de la mise en page et la carte en encart dans la plus petite zone, qui se trouve à droite. Étant donné que la carte principale est actuellement positionnée par-dessus la flèche nord, nous allons la sélectionner et la faire descendre grâce aux outils d'alignement pour s'assurer que la flèche soit visible.

Pendant que le rendu se fait, je tiens à souligner que la barre d'échelle pour la carte principale est réglée à la largeur ajustée au segment plutôt qu'à la largeur fixe, comme cela était le cas dans la démonstration précédente. Ce réglage permettra d'adapter la barre d'échelle à la taille des RMR cartographiées.

Pour la carte en encart, ajoutons une « Grille » en affichant le menu déroulant, en cliquant sur l'icône « + », puis en sélectionnant l'option de modification des propriétés de la grille. Nous allons changer les « SRC » pour « WGS 84 », en entrant « 4326 » dans le sélectionneur de systèmes, afin que nous puissions afficher les coordonnées en degrés décimaux. Nous allons spécifier des intervalles de 2º. Actuellement, cela a pour effet d'ajouter plusieurs lignes à la carte en encart, mais sera meilleur une fois l'atlas généré. Cochez la case d'affichage des coordonnées. Le format des coordonnées peut être sélectionné à partir du menu déroulant. Dans ce cas-ci, nous allons laisser le format par défaut. Nous allons spécifier l'affichage de la latitude seulement pour les paramètres de la droite et de la gauche, et de la longitude seulement pour le bas et le haut. Au bas du panneau, nous allons changer la précision des unités de la « Grille » à « 1 ».

De retour au panneau des propriétés des éléments pour la carte en encart, nous allons également ajouter un « Aperçu » en cliquant sur l'icône « + » et en spécifiant la carte voulue dans le menu déroulant, c'est-à-dire la « Carte 1 ». 

Maintenant, nous pouvons générer l'atlas. Dans le menu déroulant de l'atlas situé dans la barre de menus, sélectionnez les paramètres de l'atlas. Dans le panneau de l'atlas, cochez la case de création d'un atlas, puis, à partir du menu déroulant, sélectionnez la « Couche de couverture », c'est-à-dire la couche « RRMRAtlas » ou la couche des « RMR » dissoute. Nous allons spécifier le champ à utiliser pour le nom de la page, soit dans ce cas-ci « RMRNOM », et utiliser le même champ pour la fonction de tri. Ainsi, lorsque nous prévisualiserons l'atlas, les cartes seront triées par ordre alphabétique. Étant donné que nous voulons une carte distincte pour chaque région métropolitaine, décochez l'option d'exportation d'un seul fichier et sélectionnez le format d'exportation du fichier voulu. De plus, nous allons changer l'expression du fichier de sortie pour quelque chose de plus intuitif que les identifiants de sortie et d'élément. Remplacez « output » par « JSRPop », puis cliquez sur la zone d'expression. Dans le menu déroulant des variables, remplacez « featureID » par « @atlas_pagename », lequel est réglé au champ « RMRNOM », de sorte que les cartes de sortie soient nommées en fonction de la RMR. Toutefois, il y a un inconvénient à cela : il faut reformater les entrées dans le champ « RMRNOM » en enlevant les points, les barres obliques, les points d'interrogation et autres symboles pouvant causer un nom de fichier erroné, car ceux-ci entraîneraient l'échec de la création de l'atlas. Après avoir remplacé ces caractères, je clique sur « OK ».

Maintenant, nous pouvons sélectionner la « Carte 1 » et, dans le panneau des propriétés des éléments, cocher la case de contrôle par atlas. Pour la carte principale, nous allons spécifier « 5 % » pour les marges autour de l'élément. Dans l'interface principale, désactivez le groupe de la carte en encart. De retour au « Mode Page », sélectionnez la carte principale et, dans le panneau des propriétés des éléments, cochez les options de verrouillage des couches et de verrouillage des styles.

Nous allons suivre à nouveau ces étapes pour la « Carte 2 » et cocher le contrôle par atlas. Spécifier une marge plus large de 750 % pour garantir que l'emplacement géographique global soit affiché. Ensuite, dans l'interface principale, désactivez le groupe de la carte principale et, dans le « Mode Page », verrouillez le style de la carte en encart. Le but est d'empêcher la carte en encart d'afficher les couches de la carte principale et inversement.

Maintenant, dans la barre d'outils Atlas, sélectionnez l'icône d'aperçu de l'atlas. Nous pouvons maintenant basculer d'une RMR à l'autre par ordre alphabétique ou sélectionner les RMR voulues à partir du menu déroulant. La prochaine région métropolitaine est Barrie. Le titre, la grille et la barre d'échelle se mettent à jour rapidement, contrairement aux cartes et, particulièrement, à la carte en encart. Cela est attribuable à la grande étendue de leur couverture et aux détails du fichier des limites cartographiques.

J'ai lancé l'exécution de l'atlas de sortie précédemment. Comme nous pouvons le voir en faisant défiler les cartes, la plupart d'entre elles sont bien formatées et prêtes à être utilisées comme figures à l'appui ou documents distincts. Relativement peu de cartes nécessitent un formatage manuel ou une exportation individuelle en vue de maintenir les valeurs intuitives pour les éléments de cartes comme l'échelle ou les intervalles de grille. Par exemple, pour Edmonton, il faut utiliser des intervalles plus grands pour les coordonnées de la grille, comme « 5° ». Même chose pour Guelph, où il faut changer l'échelle graphique à une largeur fixe et spécifier « 10 » pour obtenir des valeurs de rupture plus intuitives. Ensuite, nous pourrions utiliser les procédures d'exportation présentées dans la démonstration sur la création de cartes pour exporter individuellement ces cartes. Dans l'ensemble, le panneau de l'atlas a permis de cartographier rapidement plusieurs endroits et variations d'attributs avec relativement peu d'efforts.

Nous pourrions maintenant sélectionner une autre RMR, comme Drummondville, ou l'une des sorties de l'atlas nécessitant des modifications, tels qu'Edmonton. Ensuite, nous pourrions sélectionner la carte en encart, réafficher le menu déroulant des grilles, puis cliquer sur le bouton de modification de la grille pour en changer les intervalles de « X » à « 5 » degrés. Nous pourrions également redimensionner la flèche nord pour s'assurer qu'elle ne cache pas les entités de la carte principale. Ensuite, on exporterait individuellement cette carte à l'aide des procédures mentionnées dans la démonstration précédente.

Avec l'outil d'exportation de l'atlas, nous pouvons spécifier le format de fichier à utiliser. Les formats incluent, entre autres, ceux offerts avec les options d'exportation d'un fichier unique. Il est recommandé de créer un répertoire distinct pour les cartes de sortie. Ensuite, spécifiez la résolution de sortie et cliquez sur « Enregistrer ». Nous n'allons pas réellement exécuter la sortie, car c'est un long processus qui prend environ 35 minutes.

La dernière chose à faire serait de sauvegarder le « Mode Page » comme modèle pour d'utilisation ultérieure, comme pour la création de cartes lors de la prochaine période de collecte en vue du recensement ou pour générer des cartes avec une variable différente au niveau des secteurs de recensement.

Utilisez le panneau Atlas avec une couche de couverture pour générer rapidement et facilement plusieurs cartes en fonction de vos besoins particuliers. Sauvegardez le modèle pour utilisation ultérieure dans le but de cartographier d'autres variables d'intérêt ou d'une autre période de temps. Mettez en pratique ces compétences dans vos propres domaines d'expertise en utilisant vos propres ensembles de données  pour une création semi-automatisée de cartes.

(Les mots « Si vous avez des commentaires ou des questions au sujet de cette vidéo, des outils de SIG ou d'autres produits ou services de Statistiques Canada, veuillez communiquer avec nous : statcan.sisagrequestssrsrequetesag.statcan@canada.ca » apparaissent à l'écran.)

(Le mot-symbole « Canada » s'affiche.)

Vidéo - Créer des cartes avec la Mise en page dans QGIS (Partie 2)

Numéro de catalogue : 89200005

Numéro d'exemplaire : 2020015

Date de diffusion : le 23 novembre 2020

QGIS Démo 15

Créer des cartes avec la Mise en page dans QGIS (Partie 2) - Transcription vidéo

(Le symbole de Statistique Canada, le mot-symbole « Canada » et le titre : « Créer des cartes avec la Mise en page dans QGIS (Partie 2) » apparaissent à l'écran.)

Pour faire suite de la Partie 1 sur la création de cartes dans QGIS, nous allons maintenant parler de l'ajout de certains éléments facultatif. Lorsqu'ils sont utilisés judicieusement, ces éléments peuvent améliorer l'interprétabilité et l'apparence d'une carte. Comme nous l'avons déjà mentionné, nous pouvons utiliser le gestionnaire de présentation situé dans la barre d'outils Projet pour ouvrir le « Mode Page ». Une des dernières procédures que nous avons soulevées consistait à verrouiller les couches et les styles de couches pour notre « Carte principale » afin que les modifications apportées à l'interface principale n'aient pas d'impacts sur son apparence dans le « Mode Page ». Le premier élément que nous allons ajouter est une carte en encart.

De retour à l'interface principale, nous allons désactiver le groupe de la « Carte principale »,  activer la « Carte en encart », puis zoomer sur la couche « Agrégé au niveau provincial ». Maintenant, de retour au « Mode Page », nous pouvons ajouter la carte en encart en utilisant l'outil d'ajout d'une carte au mode Page et en la cliquant-glissant pour la positionner. De plus, nous allons décocher le paramètre d'arrière-plan pour que celui-ci ne cache pas le titre de la carte.

Ensuite, nous allons ajouter une échelle graphique, cette foisci, pour la « Carte 2 ». À partir du menu déroulant Format, sélectionnez l'option numérique. Nous allons placer la carte en dessous de la carte en encart, changer le paramètre de positionnement dans le menu déroulant d'affichage à « Centrer » et ajuster le positionnement dans le « Mode Page ». Actuellement, le rapport de l'échelle n'est pas intuitif. Pour améliorer son interprétabilité, sélectionnez la carte en encart, puis entrez une valeur d'échelle fixe pour cette carte en utilisant la fonction de remplacement de données définies et entrez « 55 000 000 » dans la zone d'expression.

Ensuite, ajoutons une image. Avec l'outil activé, cliquez-glissez l'image pour la positionner dans le « Mode Page ». Maintenant, nous pouvons charger l'image à partir de notre répertoire en cliquant sur l'icône trois-points à côté de la source de l'image. L'image peut être redimensionnée et positionnée à votre guise dans le « Mode Page ».

Pour le dernier élément facultatif, ajoutons une partie de la table d'attribut à la mise en page. Cliquez sur l'icône de table d'attribut et glissez-la dans la mise en page. Nous pouvons ensuite spécifier la couche à utiliser en sélectionnant le sous-ensemble « JMBDRPop » dans le menu déroulant des couches. En cliquant sur la zone des attributs, nous pouvons spécifier les champs à inclure dans la table ou à retirer de celle-ci. Nous allons donc retirer les champs d'« Identificateur unique de divisions de recensement », « Type », « Province », « Nombre total de logements privés », « Changement de pourcentage » et « Superficie ». Nous allons également renommer les champs restants dans la colonne d'en-tête avec un nom de n'importe quelle longueur. Donc, nous allons les renommer « Nom », « Population 2011 et 2016 », « Changement de pourcentage », « Densité », « Rang (CA) », pour le niveau national, et « Rang (MB) », pour le champ du rang provincial. Nous pouvons spécifier les champs en vue de faire un tri dans la table. Ici, nous allons utiliser le champ « DRNOM». Comme dans Excel, nous pourrions ajouter d'autres règles de tri. Maintenant que la table a été ajoutée, nous pouvons la déplacer vers le bas dans la mise en page. À mesure que nous la redimensionnons dans ce mode, le nombre d'entités dans la table change. Nous pourrions également les contrôler en utilisant les paramètres du menu déroulant de filtrage des entités.

Dans la section de l'apparence, sélectionnez  Personnalisation avancée. Cochez la case des lignes paires, et nous allons modifier le formatage de la couleur pour qu'il soit gris clair, afin que nous puissions distinguer chaque ligne dans la table. Dans le menu déroulant d'affichage de la grille, décochez la case de dessin de lignes horizontales.

Maintenant, nous allons ajouter un élément de nœud  en utilisant la fonction d'ajout de polylignes dans le « Mode Page ». Nous allons utiliser les lignes pour former le contour horizontal de la table d'attribut et de la ligne d'en-tête. Double-cliquez pour indiquer le début et la fin de la ligne, puis clique-droit pour terminer. Nous allons modifier la longueur de la ligne pour nous assurer qu'elle correspond parfaitement à celle de la table d'attribut. Ensuite, nous pouvons copier-coller la première ligne et la positionner aux deux autres emplacements. Une fois que cela est fait, nous pouvons sélectionner les éléments en les cliquant-glissant vers le « Mode Page ». Nous pouvons les regrouper à l'aide de la barre d'outils Actions et verrouiller leur positionnement dans le panneau des éléments. 

Maintenant que tous les éléments de la carte sont formatés, nous pouvons exporter la carte. La carte peut être exportée sous forme d'image ou de PDF. Le format de fichier d'image permet d'ajouter celle-ci rapidement à l'intérieur d'un document, ou à titre de figure ou d'information annexe Alors que le format PDF peut être utilisé pour partager la carte avec d'autres personnes de façon largement accessible, mais protégée. Dans ce cas-ci, nous allons exporter la carte sous forme d'image. Naviguez vers le répertoire souhaité et fournissez un nom de fichier. Ensuite, nous pouvons entrer la résolution d'exportation. Une résolution de 300 points par pouce (ppp) suffit pour la plupart des applications. Cependant, si nous voulions inclure la carte sur une affiche, nous pourrions utiliser une résolution plus fine de 600 ppp ou même de 1 200 ppp. Ensuite, cliquez sur « Sauvegarder ». L'exportation a pris environ une minute à effectuer.

Une fois l'exportation terminée, cliquez sur le nom de fichier en hypertexte en haut du « Mode Page ». Puis, nous pouvons ouvrir et examiner la carte de sortie. Si nous devions apporter un quelconque ajustement, nous pourrions facilement retourner au « Mode Page », faire les changements et réexporter la carte.

Dans cette démonstration, nous avons exploré les principes, les procédures et les outils pour créer une carte dans le « Mode Page ». Les utilisateurs devraient maintenant détenir les connaissances et les compétences nécessaires pour :

  • Faire la distinction entre les éléments de carte obligatoires et facultatifs;
  • Utiliser les outils disponibles dans l'interface principale et le « Mode Page » de QGIS pour préparer les données d'une carte;
  • Ajouter des éléments de carte au « Mode Page » et modifier leur format dans le panneau des propriétés des éléments :
  • Utiliser les fonctions de verrouillage des couches dans le panneau des propriétés des éléments afin d'ajouter des cartes incrustées;
  • Utiliser les zones de groupement et de verrouillage dans le panneau des éléments pour corriger le positionnement d'éléments du « Mode Page ».

Enregistrer des cartes comme modèles et exporter des cartes finalisées.

Mettez en pratique ces compétences dans le cadre de vos propres domaines d'expertise pour créer des cartes équilibrées et faciles à interpréter.

(Les mots « Si vous avez des commentaires ou des questions au sujet de cette vidéo, des outils de SIG ou d'autres produits ou services de Statistiques Canada, veuillez communiquer avec nous : statcan.sisagrequestssrsrequetesag.statcan@canada.ca » apparaissent à l'écran.)

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Vidéo - Créer des cartes avec la Mise en page dans QGIS (Partie 1)

Numéro de catalogue : 89200005

Numéro d'exemplaire : 2020014

Date de diffusion : le 23 novembre 2020

QGIS Démo 14

Créer des cartes avec la Mise en page dans QGIS (Partie 1) - Transcription vidéo

(Le symbole de Statistique Canada, le mot-symbole « Canada » et le titre : « Créer des cartes avec la Mise en page dans QGIS (Partie 1) » apparaissent à l'écran.)

Aujourd'hui, nous allons apprendre à créer des cartes dans QGIS en utilisant la Mise en page – qui est une fenêtre distincte de l'interface principale utilisée pour la cartographie. Plus précisément, nous allons couvrir :

La navigation dans la fenêtre Mise en page, et l'utilisation de ses Outils et de ses Panneaux;
Ajouter des éléments de carte, et distinguer entre ceux qui sont obligatoires et ceux qui sont facultatifs;
Et sauvegarder et exporter une carte.

La cartographie, ou la création de cartes, combine la science et l'art des SIG. Les cartes sont de puissants outils pour communiquer des renseignements à un vaste public. Le créateur choisit quelles entités sont incluses, la façon dont elles sont visualisées et la meilleure façon de transmettre l'information. La carte devrait être intuitive et facile à interpréter. Les facteurs importants à considérer sont semblables à ceux présentés dans les tutoriels sur la visualisation des vecteurs, y compris :

Quel est le thème principal, le message de la carte et qui est le public cible?
Ce qui permet de définir les couches essentielles pour la carte. En général, vous devriez exclure les couches accessoires qui peuvent surcharger votre carte ou votre message.

Deuxièmement, la visualisation est-elle logique et facilite-t-elle la distinction des couches ou des entités?

Le niveau de détail ou de généralisation des couches est-il adapté à l'échelle de la carte?

Enfin, avez-vous sélectionné une projection appropriée pour l'emplacement de votre carte?

Commençons donc avec les couches des divisions jointes et Provinciale agrégée de la démonstration sur la jointure un à un par attributs chargées dans le panneau Couches. Les divisions au Manitoba ont été sélectionnées et subdivisées dans une nouvelle couche – JMBDRPop – qui sera notre carte principale. Les entités sélectionnées ont aussi été traitées par l'outil Dissoudre en utilisant le champ Nom de la province pour créer la couche de contour du Manitoba, qui a été regroupée avec la couche de la Province pour créer la carte en encart. Les cartes en encart montrent l'emplacement géographique plus général et le contexte de la carte principale. Les groupes dans le panneau Couches aideront à ajouter les cartes séparément dans la fenêtre Mise en page, ce qui est important, étant donné que la Mise en page est activement liée au Canevas dans l'interface principale.

Maintenant que les couches de carte sont créées et groupées, nous devons établir leurs symbologie. Au lieu d'utiliser la boîte des propriétés de la couche, nous allons utiliser le panneau de style de couche, en cliquant avec le bouton droit sur un espace vide de la barre d'outils et en le sélectionnant dans le menu déroulant. Le panneau contient les principaux onglets de visualisation de la boîte des propriétés de la couche, et les couches peuvent être sélectionnées dans le menu déroulant en haut – permettant la visualisation rapide de couches multiples.

Donc, nous allons appliquer une symbologie graduée au champ Changement démographique en pourcentage dans la couche de sous-ensemble, en utilisant la rampe de couleur spectrale, et les Jolies ruptures en tant que Mode et au nombre de classe de 8. Nous allons également changer la précision à 1. Dans l'onglet Étiquettes, sélectionnez Étiquettes uniques et sélectionnez le champ Changement démographique en pourcentage dans le menu déroulant pour l'étiquetage. Dans le sous-onglet Mise en forme, cochez Nombres mis en forme et changez le nombre de décimales à 1. Étant donné que le champ visualisé comporte des valeurs négatives, nous pourrions également cocher Montrer le signe plus au besoin.

Nous allons ajouter un petit halo au texte (autour des étiquettes) en utilisant les valeurs par défaut. Pour l'Emplacement, nous allons choisir Libre (Lent). Cela va faire pivoter les étiquettes pour les ajuster au sein des entités – ils seront encore interprétables étant donné que nous n'avons JAMAIS sélectionné l'option pour montrer les étiquettes à l'envers dans l'onglet Rendu. Nous allons également cocher Afficher uniquement les étiquettes qui rentrent à l'intérieur de l'entité, afin d'éviter que les autres étiquettes ne recouvrent la bordure de l'entité. Vous avez sans doute remarqué que je n'ai pas cliqué sur Appliquer, parce que Mise à jour en direct est coché, ce qui signifie que les paramètres de visualisation sont appliqués à mesure qu'ils sont saisis.

Sélectionnez maintenant les contours du Manitoba à partir du menu déroulant. Revenez à l'onglet symbologie. Cliquez sur Remplissage simple, Couleur de remplissage et modifiez l'opacité à 0 %, ou entièrement transparent. Ensuite, nous pouvons changer la couleur du trait à rouge foncé et entrer une largeur de 0,75 – traçant le contour de la couche de la Carte principale.

En fermant le panneau, nous allons copier / coller le style de la couche du sous-ensemble à la couche Provinciale agrégée, en utilisant Toutes les catégories, pour assurer une visualisation uniforme des changements de population entre les deux couches et les niveaux. Maintenant, nous pouvons désactiver certaines couches, ne laissant que le groupe de la carte principale. Si un signet a été créé, il peut être utilisé, ou dans ce cas-ci, puisque notre Carte principale est une seule couche, l'outil Zoom sur la couche peut être utilisé à la place. Nous pouvons aussi utiliser les autres outils de zoom afin de raffiner l'échelle du Canevas. La valeur de l'échelle en bas de l'interface est d'environ 1 – 7 millions.

Pour accéder à la fenêtre Mise en page, cliquez sur l'icône Nouvelle mise en page sur la barre d'outils Projet. L'icône de gestion de la mise en page à droite peut être utilisé si vous désirez accéder à la mise en page existante pour utilisation ultérieure. En cliquant sur la Nouvelle mise en page, nous devons fournir un nom – nous l'appellerons Créer des cartes dans QGIS. Un titre plus précis est utile pour distinguer les différentes mises en page une fois que de multiples cartes ont été créées.

Donc, la Mise en page apparaît comme telle. Il y a toute une gamme de panneaux à droite de la fenêtre, le plus important étant le panneau Propriétés de l'objet, où tous les éléments dans la mise en page sont mis en forme – arrivant par défaut à l'élément sélectionné. Sur le côté gauche se trouve une variété d'outils pour ajouter différents éléments de carte à la mise en page.

Donc, le premier élément obligatoire est la carte principale – nous allons donc cliquer sur l'icône Ajouter une nouvelle carte et cliquer / glisser pour la placer dans la mise en page. Il y a deux icônes d'interaction. Premièrement, Sélection/Déplacement, qui est activé par défaut et est utilisé pour déplacer, placer et redimensionner les éléments dans la mise en page. Ensuite, nous avons l'outil Déplacer contenu élément, qui s'applique aux éléments de Carte et peut être utilisé pour modifier l'emplacement et l'échelle du Canevas depuis l'intérieur de la Mise en page. Les éléments de carte peuvent prendre un moment pour se mettre à jour lors du changement des paramètres de mise en forme.

Ici, nous pouvons préciser les propriétés pour la Carte 1, comme fixer l'échelle à celle du Canevas, ou entrer une échelle spécifique dans les Propriétés principales. Toutefois, l'échelle s'ajustera automatiquement si la carte est redimensionnée, ce qui n'est pas idéal. Pour empêcher cela, agrandissez la boîte Valeurs définies par des données à côté du paramètre d'échelle, sélectionnez éditer, et entrez l'échelle désirée dans la boîte de l'expression, dans ce cas 7 500 000. Maintenant, nous pouvons modifier la taille de l'élément sans affecter l'échelle. En activant l'outil Déplacer contenu élément, nous allons déplacer la couche de la carte principale afin qu'elle soit entièrement visible dans la mise en page du Canevas. Nous allons également entrer – 5,0 pour la rotation de la carte pour enlever l'apparence inclinée du Manitoba, qui est liée à la projection cartographique appliquée.

Le panneau Guides peut aider à placer les éléments de carte dans la mise en page. Cliquez sur l'icône Plus et précisez une distance pour l'indentation entrez 25 mm pour guide horizontal et guide vertical à supprimer les autres guides. Les guides peuvent apparaître sous forme de lignes pointillées rouges. Il y a aussi des outils d'alignement et de distribution sur la barre d'outils action pour faciliter la mise en page et la distribution des éléments pour créer une carte esthétiquement plaisante et bien équilibrée.

Le deuxième élément obligatoire est la Flèche Nord, qui pointe vers le vrai nord, le nord magnétique ou le nord de la grille – ce qui est particulièrement pertinent pour cartographier à des latitudes plus élevées. Nous allons utiliser l'outil Ajouter flèche. Cliquez deux fois avec le bouton, pour définir le début et de la fin de la flèche – traçant une ligne verticale – puis cliquez avec le bouton droit pour terminer. La flèche Nord ne pointe pas automatiquement vers le nord, alors agrandissez le menu déroulant Rotation et entrez – 5 pour correspondre à la rotation appliquée à notre Carte principale. Nous allons Ajouter une étiquette au-dessus, remplaçant le texte par défaut avec un N majuscule. En cliquant sur la boîte Police de caractères, nous pouvons modifier la taille à une valeur plus appropriée, dans ce cas, 20, et l'alignement à Centre et Milieu. Encore une fois, nous allons faire pivoter l'étiquette.

En maintenant le bouton gauche de la souris enfoncé et en glissant à travers la Mise en page, nous pouvons sélectionner les deux éléments et les regrouper en utilisant l'outil Groupe sur la barre d'outils Action. Maintenant, nous pouvons les redimensionner et les remplacer dans la Mise en page. Dans le panneau Éléments, nous pouvons activer et désactiver les Éléments, ainsi que verrouiller leur position dans la Mise en page. Donc, en glissant à travers la Mise en page, seule la carte principale est sélectionnée.

Le troisième élément obligatoire est une échelle graphique – permettant d'estimer la distance réelle entre les entités présentes sur la carte. Cliquez sur l'icône échelle graphique et cliquez sur Mise en page. Nous pouvons sélectionner la carte à laquelle il s'applique, et le format. Ici, nous allons nous en tenir à la valeur par défaut – Style unique. En fonction de l'échelle de la carte, nous pourrions changer les unités que nous désirons utiliser dans le menu déroulant. Toutefois, pour notre carte, « kilomètres » est l'unité la plus appropriée. Nous allons inclure 4 segments à la Droite de 0, et remplacer 75 avec des valeurs plus interprétables, dans ce cas-ci, 200. Nous pouvons utiliser les flèches sur le clavier pour placer les éléments dans la direction qui nous intéresse dans la mise en page.

Le quatrième élément obligatoire est une légende pour interpréter et distinguer les entités cartographiées. Par défaut, la légende comprend toutes les couches dans le panneau Couches. Au besoin, on peut inclure un titre de légende générique au sommet, mais nous allons le laisser vide. Ensuite, nous allons décocher la mise à jour automatique pour activer les fonctions d'édition et nous assurer que les changements de mise en forme sont conservés. Nous pouvons sélectionner une couche et réorganiser les entrées de la légende avec les flèches et utiliser l'icône moins pour les enlever. Ici, nous allons éliminer la MBContour et les couches Provinciale agrégée. Ensuite, cliquez avec le bouton droit sur le titre du groupe de la Carte principale et sélectionnez Caché pour l'enlever de la légende. Nous renommons également les couches dans le menu déroulant Entrées de légende, en double cliquant avec le bouton gauche. Nous allons renommer JMBDRPop pour Variation en pourcentage. On peut aussi modifier la portée des valeurs au sein de la mise en page en élargissant le menu déroulant et en double cliquant avec le bouton gauche. Ici, nous allons changer les valeurs des limites supérieures et inférieures pour la légende à moins de - 4,0 et plus de 14,0. Nous allons également retirer son fond et modifier son emplacement pour l'aligner avec l'échelle graphique et la Carte principale.

La cinquième composante essentielle est un titre. Il devrait être simple, concis et transmettre rapidement le contenu de la carte, y compris le thème, l'emplacement et un élément temporel. Ici, nous allons l'appeler Variation de la population du Manitoba en pourcentage (2011-2016), deux-points (:), Divisions de recensement. Nous allons modifier la taille de la police à 34, préciser l'alignement et redimensionner la boîte de texte en conséquence.

Le dernier élément obligatoire est composé d'éléments de texte supplémentaires qui précisent la projection cartographique, le créateur et les sources de références– particulièrement important lorsque la carte sera diffusée comme un document autonome. Nous pouvons entrer l'information manuellement ou utiliser des expressions pour semi-automatiser l'entrée de cette information. Donc, nous allons entrer Préparer par : Insérer un nom ou cliquer sur Insérer une expression et dans le menu déroulant variables, cliquer deux fois sur le nom complet de l'utilisateur. Ensuite, écrivez Projection : NAD83 Statistique Canada Lambert ouvrir parenthèse. Rouvrez la boîte d'expression une fois de plus et double cliquez sur projeter les SRC dans le menu déroulant des variables. Comme démontré, l'information et les expressions entrées manuellement sont automatiquement mises en forme dans le panneau Propriétés. Ensuite, nous devons préciser les sources de références, en tapant les ensembles de données consultés depuis Statistique Canada. Enfin, inclure une expression supplémentaire pour inclure la date de création et le programme utilisé. Utiliser la fonction Concat et des virgules pour séparer les composantes. Donc, d'abord – ouvrez les guillemets et tapez Créé le : espace, fermer guillemets, ensuite tapez todate$ entre crochets. Ajoutez une autre virgule, rouvrir les guillemets, espace, taper avec QGIS, espace, fermer les guillemets. Enfin, double cliquez @qgis version courte dans le menu déroulant des variables.

Avec la Carte 1 mise en forme et toutes les composantes obligatoires ajoutées, nous sélectionnerons la Carte principale et appliquerons Verrouiller les couches et Styles de couche dans le panneau Propriétés de l'objet afin que les modifications apportées à l'interface principale n'influencent pas son format ou son échelle dans la fenêtre de Mise en page. Maintenant, nous pouvons cliquer sur les icônes Sauvegarder en haut. Le premier va sauvegarder le projet dans l'interface principale et la mise en page, auquel nous pouvons ensuite accéder avec le Gestionnaire de mise en page pour des modifications supplémentaires. Le deuxième outil peut être utilisé pour sauvegarder une Mise en page particulière comme Gabarit pour utilisation répétée. Nous allons couvrir cette option lors d'une démonstration subséquente. Cliquez donc sur la première icône Sauvegarder, à laquelle nous accéderons pour discuter des éléments de carte optionnels dans la Partie 2.

(Les mots « Si vous avez des commentaires ou des questions au sujet de cette vidéo, des outils de SIG ou d'autres produits ou services de Statistiques Canada, veuillez communiquer avec nous : statcan.sisagrequestssrsrequetesag.statcan@canada.ca » apparaissent à l'écran.)

(Le mot-symbole « Canada » s'affiche.)

Vidéo - Joindre par Attributs (Partie 2) : jointures un à plusieurs

Numéro de catalogue : 89200005

Numéro d'exemplaire : 2020013

Date de diffusion : le 20 novembre 2020

QGIS Démo 13

Joindre par Attributs (Partie 2) – jointures un à plusieurs - Transcription vidéo

(Le symbole de Statistique Canada, le mot-symbole « Canada » et le titre : « Joindre par Attributs (Partie 2) – jointures un à plusieurs » apparaissent à l'écran.)

Pour faire suite au tutoriel précédent sur les jointures un à un par attributs, nous allons examiner, aujourd'hui, le deuxième type – la jointure un à plusieurs. Celle-ci consiste en plusieurs rangées ou entités dans le fichier tabulaire pour une géométrie des entités correspondantes. Nous démontrerons les procédures à l'aide du tableau qui comprend le nombre de fermes déclarant dans six catégories de capital distinctes pour chaque limite correspondante. Le tableau nécessite également un certain formatage dans un éditeur externe, y compris l'extraction de l'information nécessaire à la jointure, ce qui n'est pas inhabituel pour l'exécution des jointures ou l'intégration des tableaux de Statistique Canada aux données vectorielles.

Pour importer la table dans Excel, accédez à l'onglet Data et sélectionnez 'From Text'. Sélectionnez le fichier / la table dans votre répertoire et cliquez sur Import. Dans la fenêtre Text Import, cocher Delimited et cliquez Next et puis changer le délimiteur de Tab à Semi-Colon. Dans le tableau, nous allons commencer par déplacer le nom de la première région agricole de recensement vers le bas pour l'aligner sur la première catégorie de capital et supprimer la rangée dans laquelle il se trouvait. Ensuite, nous copierons le tableau principal dans un nouveau classeur pour continuer l'édition. Nous devons maintenant indiquer les noms des régions agricoles de recensement pour chaque catégorie de capital. Ainsi, sous « Rechercher et Sélectionner », nous pouvons cliquer sur « Aller à spécial » et cocher « Champs vides ». Dans la barre de formule en haut, nous définirons ensuite la cellule utilisée pour remplir la première cellule vide et nous appuierons sur Ctrl et Entrée pour remplir automatiquement toute la colonne avec la formule.

Ensuite, nous voulons extraire les identificateurs uniques des régions agricoles de recensement qui se trouvent entre crochets dans la colonne « Géographie ». Pour ce faire, nous pouvons appliquer cette formule, qui trouvera et extraira les caractères entre crochets. J'ai ajouté cette formule et d'autres formules utiles pour extraire l'information de jointure dans la description vidéo. Donc, après avoir collé la formule, nous pouvons utiliser l'onglet situé dans le coin inférieur droit de la cellule pour appliquer la formule à toute la colonne.

Maintenant, nous voulons supprimer le préfixe CAR en utilisant la formule RIGHT, en précisant la cellule et le nombre de caractères à prendre, dans ce cas-ci, c'est 9.

La procédure finale pour isoler les identificateurs uniques des régions agricoles de recensement consiste à prendre les quatre premières valeurs situées à GAUCHE.

Pour extraire l'information de jointure pour des régions géographiques plus fines du recensement telles que les subdivisions, nous prendrions les trois premiers chiffres à gauche et les quatre derniers chiffres à droite et nous les rassemblerons ensemble.

Nous allons maintenant copier les identificateurs qui ont été extraits et les coller comme des valeurs dans la colonne adjacente. Nous pouvons ensuite supprimer les trois colonnes précédentes qui contiennent des formules. La dernière étape consiste à fournir des noms de champs abrégés d'une longueur de moins de dix caractères, comme nous l'avons appris dans la vidéo précédente. J'ajoute NF devant 2011 et 2016 pour reconnaître qu'il s'agit de numéros de ferme. Enfin nous utiliserons la fonction Rechercher et Remplacer pour remplacer 'à' avec les tirets – pour éviter les problèmes lors de l'exécution des prochains outils dans la démo. Ensuite, nous allons enregistrer notre tableau sous forme de classeur Excel, que nous appellerons FermesCap, puis nous l'enregistrerons de nouveau sous forme de fichier à valeurs séparées par un point-virgule, sélectionné à partir du menu déroulant « Type de fichier » (.csv). Procéder à un enregistrement directement en format .csv peut nuire au formatage de votre tableau. Maintenant, nous pouvons fermer le programme; cliquez sur « Ne pas enregistrer ».

Maintenant, dans QGIS, nous pouvons rafraîchir le panneau Navigation et charger le tableau formaté avec notre fichier des limites des régions agricoles de recensement.

Plutôt que d'utiliser l'onglet Jointures, qui génère un flux de travail plus complexe, nous irons dans la boîte à outils de traitement; cherchez « Valeur de jointure » en ouvrant l'outil Attributs de jointure par valeur de champ. Malgré une légère différence de présentation et de format, l'outil contient exactement les mêmes paramètres que l'onglet Jointures. Nous indiquons les deux couches que nous aimerions joindre, ici le fichier des limites des régions agricoles de recensement et le tableau formaté du capital agricole – et les deux champs ayant des entrées communes utilisées pour lier les ensembles de données– dans ce cas-ci, les deux étant CARUID. Nous pouvons également préciser les champs à ajouter à partir de la deuxième couche. La principale caractéristique distinctive est la possibilité de sélectionner « Un à plusieurs » dans le menu déroulant « Type de jointure ». Nous l'enregistrerons sous un fichier permanent, appelé JFermesCap, dans notre dossier Jointures. Exécutez l'outil et une fois cette étape terminée, rafraîchissez le panneau Navigation et chargez la couche.

Nous isolerons donc les régions agricoles de recensement du Manitoba pour une zone d'analyse plus restreinte. À partir de notre sélection, nous calculerons la différence du nombre de fermes déclarant dans chaque catégorie de capital entre les deux années de recensement à l'aide de la Calculatrice de champ. Je l'appellerai DFrm1611 – et en agrandissant les champs et valeurs, nous soustrairons le nombre de fermes en 2016 de celui de 2011.

En utilisant le résultat sortant, nous pouvons appliquer une symbologie graduée au champ de différence. Plus tôt, j'ai créé un fichier de symbologie à cette fin, que je vais charger à partir de « Fichier ». Natural Jenks a donc été le mode pour établir la plage des valeurs de rupture pour la visualisation. Le même champ a été utilisé pour étiqueter les entités. Il est important d'appliquer la visualisation à cette couche, car elle contient la gamme complète des valeurs qui pourraient ne pas être reproduites dans les catégories de capital individuelles.

Avec l'outil Séparer une couche vecteur, les couches vectorielles peut être utilisé pour créer plusieurs couches distinctes à partir d'un vecteur en fonction de l'identifiant unique. Donc, si nous le laissons comme RARIDU – chaque région agricole de recensement serait générée comme un fichier distinct. Toutefois, comme nous voulons examiner l'évolution du nombre de fermes dans chaque catégorie de capital, nous l'appliquerons au champ Catégorie de capital agricole. Nous allons créer un nouveau répertoire dans notre dossier Jointures pour les fichiers de sortie, appelé SéparerFermesCap. En nous assurant qu'il ne s'applique qu'aux entités sélectionnées, nous pouvons ensuite cliquer sur Exécuter.

Nous pouvons agrandir le répertoire et pour sélectionner plusieurs couches dans le panneau Navigation, nous pouvons cliquer avec le bouton droit de la souris et sélectionner Ajouter des couches.

Ainsi, avec la symbologie déjà appliquée à notre vecteur joint d'origine, nous pouvons simplement cliquer avec le bouton de droite de la souris sur l'option style de copie, en sélectionnant toutes les catégories de style. Maintenant, nous pouvons sélectionner et cliquer avec le bouton droit de la souris sur l'option couches fractionnées et cliquer sur coller le style. Cela permet donc d'appliquer rapidement une visualisation uniforme, avec les plages de valeurs complètes, sur plusieurs couches.

J'ai chargé et classé les couches fractionnées en tranches de capital ascendantes dans le groupe « Couches préparées ». Maintenant, si nous passons en revue les couches distinctes de la catégorie de capital agricole, nous pouvons observer une tendance générale. En général, il y a une diminution du nombre de fermes déclarant dans les catégories de capital plus petites – ce qui contraste avec l'augmentation du nombre de fermes déclarant à mesure que nous entrons dans des catégories de capital plus grandes – une tendance établie dans le secteur agricole.

La jointure des données de tableaux et des données vectorielles est un puissant outil pour intégrer des données tabulaires dans un format géospatial – ce qui facilite l'analyse et la visualisation des variables spatiales et temporelles pour un large éventail de variables rapportées. À l'aide des compétences acquises dans cette démonstration, les utilisateurs devraient être en mesure de faire ce qui suit :

Extraire ou faire correspondre l'information de jointure à partir d'ensembles de données
Effectuer des jointures un à un et un à plusieurs entre les ensembles de données tabulaires et de données vectorielles
Visualiser les variables jointes et examiner les relations avec l'outil graphique

Bien que nous ayons joint qu'un seul tableau à des ensembles de données vectorielles pour chaque utilisation de cas, ces procédures peuvent être répétées pour combiner plusieurs tableaux et étudier les relations entre les variables à un niveau commun. Appliquez ces compétences aux ensembles de données qui vous intéressent. Restez à l'écoute pour le prochain tutoriel qui portera sur la création de cartes dans QGIS.

Une dernière remarque – Statistique Canada publie de plus en plus d'ensembles de données sous forme de tableaux et d'ensembles de données spatiales sur Carte Ouverte, comme les ensembles de données sur le revenu médian après impôt et sur les exploitants agricoles. Ils peuvent être facilement chargés dans QGIS et utilisés pour examiner les tendances à de multiples échelles. Téléchargez ces ensembles de données lorsqu'ils sont disponibles pour pratiquer et faciliter l'utilisation des données de Statistique Canada dans le système d'information géographique (SIG).

(Les mots « Si vous avez des commentaires ou des questions au sujet de cette vidéo, des outils de SIG ou d'autres produits ou services de Statistiques Canada, veuillez communiquer avec nous : statcan.sisagrequestssrsrequetesag.statcan@canada.ca » apparaissent à l'écran.)

(Le mot-symbole « Canada » s'affiche.)

Vidéo - Joindre par Attributs (Partie 1) : jointures un à un

Numéro de catalogue : 89200005

Numéro d'exemplaire : 2020012

Date de diffusion : le 20 novembre 2020

QGIS Démo 12

Joindre par Attributs (Partie 1) - jointures un à un - Transcription vidéo

(Le symbole de Statistique Canada, le mot-symbole « Canada » et le titre : « Joindre par Attributs (Partie 1) – jointures un à un » apparaissent à l'écran.)

Dans le tutoriel d'aujourd'hui, je vais vous donner un aperçu de la jointure d'ensembles de données par attributs, en particulier la liaison de tableaux aux ensembles de données vectorielles pour leur analyse et leur visualisation. Pour examiner les variables tabulaires, il est très efficace de les relier à la géométrie vectorielle par des identifiants communs; dans ce casci, une colonne dans le tableau et un champ de couplage dans le fichier vectoriel. Il existe deux types de jointures d'attributs, et les procédures qui s'y rattachent diffèrent légèrement. Aujourd'hui, nous nous intéresserons au premier type:

La jointure un à un, qui consiste à faire correspondre une seule ligne dans le tableau pour chaque entité ou géométrie dans le fichier vectoriel. Pour que la jointure soit réussie, les identifiants doivent correspondre parfaitement. Par conséquent, les identificateurs numériques sont idéaux compte tenu des complications liées au texte; par exemple, les caractères spéciaux, l'espacement et de la sensibilité à la casse. Vous pouvez également copier et mettre en correspondance les entrées entre les ensembles de données pour accroître la probabilité que la jointure soit réussie.

Pour le tutoriel, nous allons utiliser les Chiffres de population et des logements qui ont été téléchargés précédemment. Leur mise en forme est idéale, puisq+ue les données de la jointure sont disponibles et que les modifications des limites entre les collectes des données du recensement ont été prises en compte; par conséquent, aucune mise en forme externe n'est nécessaire.

Vous pouvez charger les ensembles de données de tableaux dans QGIS en suivant les procédures établies, en cliquant deux fois avec le bouton gauche de la souris ou en utilisant la fonction glisserdéplacer dans le panneau Couches. Donc, avec les tableaux et les limites correspondantes qui ont été chargés, ouvrons la boîte Propriétés de la couche Division de recensement, que nous utiliserons pour faire la démonstration des procédures à suivre. Vous pouvez utiliser l'onglet Jointures pour réaliser des jointures un à un. Pour créer notre jointure, nous allons cliquer sur l'icône Plus.

La couche Jointure est l'ensemble de données que nous souhaitons joindre. Le champ Jointure est la colonne ou le champ utilisé pour lier les ensembles de données. Le champ dans la couche cible est le champ correspondant, dans le fichier vectoriel, aux identifiants uniques. Dans le cas présent, il s'agit de l'identifiant unique des divisions de recensement. Nous allons également vérifier les boîtes suivantes et préciser les champs à joindre; autrement, tous les champs sont joints par défaut.

Plus précisément, nous allons ajouter les champs « Chiffres de population et total des logements privés », « Variation en pourcentage », ainsi que « Superficie des terres », « Densité de la population » et les deux champs « Rang selon la population ». Nous allons supprimer le préfixe personnalisé pour conserver les noms initiaux des colonnes.

Maintenant, dans l'onglet Champs source, nous pouvons voir que les colonnes ont été jointes temporairement et qu'elles sont présentées sous forme de zones de texte simple, ce qu'elles ne sont pas. Il s'agit d'un paramètre par défaut de QGIS. De plus, les noms des champs qui ont été joints dépassent les limites du format de fichier que nous utilisons. Pour joindre les ensembles de données de façon permanente, nous devons exporter l'ensemble de données vers une nouvelle couche. Pour accomplir les trois tâches en même temps, nous nous servirons de l'outil de refactorisation des champs.

Nous pouvons rechercher l'outil dans la boîte à outils Traitement et cliquer deux fois sur le bouton gauche de la souris pour l'ouvrir. Fermons la description de l'outil. À l'aide des menus déroulants, nous pouvons changer les types de champs pour les colonnes jointes. Plus précisément, nous allons utiliser un Entier pour les variables sur le dénombrement tandis que pour les champs de la variation en pourcentage, de la superficie des terres et de la densité de la population, nous allons utiliser un Double, soit l'équivalent des types de champs en nombres décimaux. Nous devons ensuite préciser les paramètres : nous allons fixer la longueur à 12, et pour les colonnes des « nombres doubles », la précision sera de 2. Enfin, nous allons renommer nos champs sous forme d'entêtes abrégés de moins de dix caractères, soit la limite du format de fichier cartographique que nous utilisons. N'hésitez pas à utiliser les abréviations qui sont les plus intelligibles pour vous.

Nous allons sauvegarder le fichier en fournissant un répertoire de sortie et un nom. Je le sauvegarde dans le répertoire de la démonstration sur les jointures et je le nomme JDRPop, pour « jointure des populations de la Division de recensement ». Une fois cette étape terminée, rafraîchissez le panneau Navigation et chargez l'ensemble de données joint dans le panneau Couches.

Nos champs étant maintenant correctement attribués, nous pouvons visualiser les variables jointes et appliquer une symbologie graduée aux types de champs numériques, en particulier les variations de la population en pourcentage. Nous allons sélectionner une rampe de couleurs appropriée pour la visualisation. En ce qui concerne la couche Division de recensement, nous pouvons utiliser les Jolies ruptures pour établir les plages de valeurs pour la visualisation. Cliquez sur OK.

Nous pouvons maintenant examiner les variations spatiales dans les variables jointes pour l'ensemble des divisions au Canada.

Nous vous recommandons de vous exercer en reproduisant ces procédures avec la couche Subdivisions de recensement afin de vous familiariser avec la méthodologie. Là encore, vous devez spécifier la couche et l'information à joindre, dans ce casci, à l'aide de l'identifiant unique des subdivisions de recensement.

Pour la démonstration, j'ai chargé une couche des subdivisions jointes que j'ai créée précédemment. Compte tenu de la répartition des données de ce niveau, le mode quantile (nombre égal) a été utilisé pour établir les valeurs de rupture pour la visualisation. En basculant d'une fenêtre à l'autre, nous pouvons voir comment ces procédures permettent d'évaluer les variables à de multiples échelles assez rapidement et facilement.

À ce propos, si nous voulons dégager les tendances de façon plus générale, nous pouvons utiliser l'outil Agrégation. Nous devons préciser la couche à regrouper, puis le menu déroulant Grouper par Expression pour permet de sélectionner le champ utilisé pour regrouper les géométries et les attributs. Étant donné que nous utilisons l'identificateur unique provincial, les trois premiers champs de la Division de recensement sont redondants; nous allons donc les supprimer. Nous pouvons spécifier l'opérateur à appliquer dans le regroupement des champs à partir du menu déroulant. Nous allons utiliser First Value pour les deux premières zones de texte, et pour la variation en pourcentage, nous allons utiliser l'opérateur Moyenne, que nous recalculerons une fois le champ créé. Enfin, nous allons supprimer les champs « Rang selon la population ». Nous allons sauvegarder cette couche dans le même répertoire et la nommer JAgPopPr pour « populations provinciales jointes et regroupées ». Une fois cette étape terminée, nous allons une fois de plus rafraîchir le panneau Navigation et charger la couche.

À présent, nous allons recalculer le champ de la variation de la population en pourcentage à l'aide de la Calculatrice de champ. Nous allons donc ouvrir les parenthèses, soustraire la population de 2016 de celle de 2011, fermer les parenthèses et diviser le tout par la population de référence dans ce casci, Pop11 et multiplier par 100. Là encore, nous pouvons utiliser l'onglet Symbologie pour visualiser la variable aux trois niveaux.

Le dernier sujet à aborder est le menu déroulant Graphiques de la boîte à outils Traitement. Il peut être utilisé pour évaluer rapidement la répartition des données, comme le dénombrement des entités dans différentes catégories à l'aide des histogrammes et des diagrammes de quartiles, ainsi que les liens entre les variables jointes à l'aide du diagramme de dispersion. Nous pourrions utiliser la population de 2016 comme variable indépendante et le nombre total de logements privés dans la même année comme variable dépendante. Une fois la requête exécutée, nous pouvons cliquer sur l'hyperlien dans Afficher les résultats pour examiner le lien. Il n'est pas étonnant de constater qu'il y a un lien positif très fort entre la population et le nombre de logements privés.

Ceci conclut la démonstration sur les jointures un à un, lorsqu'il y a une seule entrée pour chaque entité correspondante, à l'aide de l'onglet Jointures. Les procédures s'appliquent également à la jointure de tableaux ou à la liaison de deux ensembles de données vectorielles ou plus pour pouvoir visualiser les variables. Nous avons également appris comment utiliser l'outil de refactorisation des champs pour modifier les types de champs des données jointes, et comment utiliser l'outil Agréger pour examiner les tendances de façon plus générale. Nous pourrions répéter ces procédures pour combiner de multiples variables afin d'examiner l'évolution des liens entre les variables d'un emplacement à l'autre et au fil du temps. Dans la prochaine démonstration, nous allons nous intéresser à la façon d'effectuer une jointure un à plusieurs.

(Les mots « Si vous avez des commentaires ou des questions au sujet de cette video, des outils de SIG ou d'autres produits ou services de Statistiques Canada, veuillez communiquer avec nous : statcan.sisagrequestssrsrequetesag.statcan@canada.ca » apparaissent à l'écran.)

(Le mot-symbole « Canada » s'affiche.)

Vidéo - Pratiques exemplaires, conseils et modifier les paramètres par défaut dans QGIS

Numéro de catalogue : 89200005

Numéro d'exemplaire : 2020011

Date de diffusion : le 19 novembre 2020

QGIS Démo 11

Pratiques exemplaires, conseils et modifier les paramètres par défaut dans QGIS - Transcription vidéo

(Le symbole de Statistique Canada, le mot-symbole « Canada » et le titre : « Pratiques exemplaires, conseils et modifier les paramètres par défaut dans QGIS » apparaissent à l'écran.)

Bonjour à toutes et à tous, Nous vous présenterons aujourd'hui des conseils et des pratiques exemplaires pour utiliser QGIS, et traiterons de sujets tels que la gestion des fichiers, l'optimisation des flux de travail ainsi que l'accès, l'exécution et le dépannage de problèmes courants qui surviennent lors de l'utilisation des outils de traitement. Nous aborderons aussi brièvement le changement des paramètres par défaut du programme, de façon à permettre certaines personnalisations de l'interface et du traitement des données selon les besoins individuels. Ces pratiques exemplaires et conseils vous éviteront des frustrations et faciliteront le traitement, l'analyse et le partage des produits et des visualisations de données spatiales avec d'autres utilisateurs.

Les premiers conseils portent sur la gestion des fichiers et des répertoires. À l'instar de nombreux programmes, QGIS utilise des chemins d'accès absolus par défaut pour relier les couches aux fichiers du projet. Par conséquent, si un répertoire ou un fichier est déplacé ou renommé, le nouveau chemin doit être fourni au moment de rouvrir le projet, sinon les couches concernées seront supprimées. Vous devez donc sélectionner la couche et cliquer sur « Parcourir » pour naviguer jusqu'au nouveau répertoire ou nom du fichier et, dans le cas d'un fichier géographique, vous devez sélectionner le fichier .shp relié à la couche.

Comme on l'a mentionné, toutes les données spatiales devraient se trouver dans un répertoire commun — le dossier de données géospatiales — et on devrait utiliser d'autres sous-répertoires et des noms de fichier distinctifs pour une meilleure organisation. La pratique exemplaire consiste toujours à éviter les espaces et les caractères spéciaux dans les noms de fichier ou les répertoires, puisque cela peut compliquer la sauvegarde ou le chargement des fichiers. Remplacez les espaces par des traits de soulignement ou des tirets, au besoin. Enfin, avec le système d'information géographique, il est facile de créer rapidement plusieurs fichiers, alors gérez vos répertoires de manière judicieuse.

Le format de fichier optimal pour un ensemble de données varie selon l'usage prévu. Le format « Shapefile » aide à partager rapidement les couches avec d'autres utilisateurs en vue de l'analyse, de la visualisation et de la modification – alors que les fichiers Geodatabase et GeoPackage permettent d'entreposer des couches de différents types de géométrie dans un seul fichier; les couches originales sont alors verrouillées et non modifiables, et, à l'opposé du format « Shapefile », il n'y a pas de limite concernant la longueur du nom du fichier. L'outil Paquetage de couches peut servir à créer un paquetage géographique. Vous pourriez ensuite combiner les points à partir des Élévateurs à grains, les lignes à partir des segments routiers et les polygones à partir des subdivisions de recensement du Manitoba. Après la sauvegarde dans un fichier permanent, vous pourriez ensuite charger les couches comme les bases de données géographiques du fichier. Il existe divers autres formats, tels que KML pour le chargement et l'affichage d'une couche vectorielle dans Google Earth. En général, utilisez le format du menu déroulant dans la boîte « Enregistrer la couche vectorielle sous… »  pour le modifier tel que désiré. Bon nombre de sources décrivent les applications, les avantages et les inconvénients des formats importants, qui peuvent être consultés afin de déterminer le meilleur format pour vos données.

Pour accélérer les délais de rendu dans le cas de grands ensembles de données vectorielles, vous pouvez utiliser « Créer un index spatial » dans la boîte à outils ou l'onglet « Source » de la boîte « Propriétés de la couche ». L'équivalent pour les rasters est « Construire des aperçus (pyramides) », qui crée des résolutions plus grossières des images pour un rendu plus rapide et à plus grande échelle.

Les prochains conseils font référence aux flux de travail du SIG. En fin de compte, il y a plusieurs manières d'exécuter la même tâche dans le SIG. Le flux de travail le plus court, en nombre d'étapes, en sorties intermédiaires ou en délais de traitement qui atteignent les mêmes résultats représentent le meilleur flux de travail. Si l'on compare ces expressions, qui produisent la même sélection, la deuxième est meilleure, puisqu'elle évite la répétition du nom du champ et de l'opérateur pour chaque attribut d'intérêt. Il faut donc appliquer ces principes à vos propres flux de travail, que ce soit l'application d'outils précis, l'ordre de la mise en œuvre ou, comme montré, la manière d'écrire une expression ou un code.

Les outils QGIS sont accessibles à partir du menu déroulant ou de la boîte à outils de traitements. Veuillez noter qu'il y a une exclusion mutuelle dans les outils disponibles – telles que l'extension Vérifier les géométries dans le menu déroulant et les autres outils GDAL, SAGA et GRASS ainsi que les modèles créés par l'utilisateur et les scripts de traitement de la boîte à outils. Selon moi, la boîte à outils est la méthode la plus rapide et simple pour isoler les outils disponibles à l'aide de la barre de recherche, car cela renvoie également à d'autres outils ou outils de rechange qui peuvent être pertinents pour votre flux de travail. Utilisez au besoin les descriptions situées à droite d'un outil pour le paramétrer. Veuillez noter que les paramètres peuvent varier selon la source précise de l'outil. Par exemple, l'outil de pente QGIS a seulement deux paramètres, un pour le modèle d'élévation numérique et un pour le facteur Z; alors que l'outil de pente GDAL contient d'autres paramètres, tels que l'expression de la pente en pourcentages par rapport aux degrés. L'aspect des outils varie aussi selon l'emplacement à partir duquel on y accède. Par exemple, ouvrir « Sélectionner à l'aide d'une expression » dans la boîte à outils a un aspect très différent de la barre d'outils « Attribut », qui n'a pas de menu déroulant central pour aider à créer des expressions.

Le prochain point porte sur les propriétés spatiales. Comme mentionné, lorsqu'on utilise les couches multiples dans QGIS, la projection, le référentiel et le système de référence cartographique devraient être uniformes. Bien que QGIS projete les couches automatiquement pour la visualisation du SRC projeté — établi selon la première couche chargée — cela ne corrige pas les propriétés  pour le traitement et l'analyse. À des fins d'analyse spatiale, utilisez un SRC projeté, en adaptant le système sélectionné selon la précision requise pour vos besoins analytiques. 

Inversement, en raison des effets possibles sur les valeurs ou l'alignement des pixels, les matrices ne devraient pas être projetées de nouveau, sauf si cela est nécessaire comme dans le cas d'une analyse spatiale ou de l'intégration de plusieurs matrices provenant de diverses sources. Dans ces cas, l'alignement et la résolution des pixels devraient correspondre, ce qui peut être exécuté à l'aide de l'outil Aligner les rasters. Sélectionnez les couches d'entrée, le nom du fichier de sortie et la méthode de rééchantillonnage. La matrice de résolution plus grossière devrait servir comme couche de référence. Comme vous pouvez le constater, la position des pixels en comparaison de la matrice initiale a légèrement changé, mais en la basculant sur le MNE aligné, vous constaterez que leurs pixles sont alignées, ce qui pourrait être traité et analysé de manière plus approfondie, au besoin. De la même façon, lorsqu'il s'agit d'échantillonner des couches matricielles, assurez-vous que la distance minimale entre les points est plus grande que la résolution des pixels pour éviter d'enfreindre les hypothèses d'indépendance statistique.

Les prochains conseils abordent l'exécution des outils de traitement. La plupart des outils peuvent être exécutés en une seule couche ou exécutés à l'aide d'un traitement par lots pour des entrées multiples. Cependant, lors de l'exécution du traitement par lots, les couches temporaires et l'option Entités sélectionnées uniquement ne sont pas disponibles. La boîte de sélection multiple peut permettre la sélection rapide des couches d'intérêt et, lorsque cela est possible, vous pouvez copier et coller les paramètres afin de réduire les entrées manuelles. À condition que les couches soient nommées par le nom du fichier désiré, vous pouvez adapter le préfixe et utiliser les paramètres de remplissage automatique, Remplir avec les valeurs des paramètres afin d'automatiser les noms de fichier. Pour entreposer des couches intermédiaires, créez un répertoire temporaire qui peut être supprimé après le traitement, comme je l'ai fait afin de projeter de nouveau les couches en WGS84, la zone UTM 14N.

Sinon, pour le traitement vectoriel, vous pouvez activer la fonction « Éditer les entités sur place » dans la boîte à outils. Cela permet de modifier les couches d'entrée sans créer de nouvelles couches. Vous pourriez donc projeter de nouveau les couches ou, en l'occurrence, la couche ZI, et faire pivoter les entités de 180 degrés. Utilisez la fonction Annuler pour récupérer les entrées initiales, au besoin. Une autre option consiste à créer un modèle représentant les traitements voulus, en définissant les entrées et les algorithmes pour les tâches répétitives, telles que celle-ci qui reprojette une couche dans un SRC et la découpe une étendue commune. Vous pourriez ensuite cliquer deux fois dans la boîte à outils et l'exécuter individuellement ou à l'aide d'un traitement par lots afin de normaliser les propriétés spatiales et l'étendue de l'analyse. Nous aborderons le Modeleur de chaîne de traitement dans une démonstration ultérieure.

La majorité des outils QGIS sont exécutés en arrière-plan, ce qui veut dire que d'autres tâches peuvent avoir lieu pendant que les outils de traitement sont exécutés. Cela ne concerne pas nécessairement les outils GRASS ou SAGA. Faites preuve de patience, même si le programme semble bloqué,  il arrive fréquemment que les outils soient exécutés et prendront fin dans les délais de traitement nécessaires. QGIS n'offre pas l'option de sauvegarde automatique, assurez-vous donc de sauvegarder souvent vos modifications de couches, de visualisations et de fichiers de projet, en particulier avant d'exécuter les outils de traitement intensif. Si QGIS tombe en panne lorsque vous utilisez un outil de traitement, l'icône « Boîte à outils » peut disparaître de la barre d'outils « Attribut » lorsque le programme est rouvert. En tant que module d'extension de base, il peut être chargé de nouveau à partir de la boîte « Installer/Gérer les extensions » ouverte dans le menu déroulant « Extension ». Vous pouvez ensuite décocher et cocher de nouveau la boîte « Traitement ».

Les modules d'extension sont un autre composant clé de QGIS, car ils intègrent les fonctions créées par l'utilisateur. Ils peuvent être installés et mis à jour directement à partir de cette fenêtre lorsque vous êtes connectés à Internet ou chargés à partir d'un dossier compressé s'ils sont téléchargés à partir du répertoire en ligne. Veuillez noter que les modules d'extension autres que ceux de base peuvent reposer sur d'autres dépendances et devenir désuets entre les versions de QGIS, dans un tel cas ils apparaissent en rouge.

Nous traiterons maintenant brièvement de la modification des paramètres par défaut dans QGIS. Pour ce faire, agrandissez le menu déroulant « Préférences » et sélectionnez « Options ». Veuillez noter que  les changements apportés ici concernent TOUS les fichiers de projet et exigent de redémarrer le programme pour s'appliquer.

Dans l'onglet « Général », vous pouvez modifier la langue de l'interface en précisant la langue et la localité – en sélectionnant ici « Français canadien ». Comme vous pouvez le voir, cela traduit la plupart des aspects de l'interface, y compris les outils et les sorties en conséquence. De retour dans l'onglet « Général », en dessous se trouvent les paramètres par défaut additionnels dans les invites du système et les paramètres du projet. Dans l'onglet « SCR ou SRC », vous pouvez modifier les paramètres par défaut du système de référence cartographique. Conservez WGS84, car c'est le système de coordonnées géographiques le plus utilisé. Nous pouvons également modifier comment le système de coordonnées est établi lors du chargement des couches en utilisant les paramètres par défaut, les invites pour chaque couche ou en utilisant le SRC projeté.

Dans l'onglet « Sources de données », vous pouvez modifier le comportement et le formatage du tableau des attributs. Vous pouvez préciser les entités qui apparaissent, l'affichage par défaut dans un formulaire ou un tableau et les paramètres par défaut pour copier le tableau. Les paramètres par défaut comprennent la Représentation textuelle connue, ou WKT en anglais, qui sont les coordonnées des géométries de chaque entité. Cela active le traitement et l'analyse externes des tableaux puis les chargent de nouveau en format de fichier spatial. Toutefois, si aucune analyse approfondie dans le SIG n'est nécessaire ou que les données peuvent être trouvées à l'aide des identificateurs uniques, vous pourriez passer en texte uniquement, sans géométrie pour réduire les délais d'exportation du tableau.

L'onglet Rendu fournit de l'information sur les paramètres par défaut afin de visualiser les types de couches vectorielle et matricielle, tels que la simplification géométrique pour les vecteurs et les styles de rendu par défaut pour les matrices. Les quatre prochains onglets permettent des modifications au niveau de la sélection et des couleurs pour d'autres outils d'interaction de la carte, d'ajuster les couleurs et les échelles prédéfinies et d'appliquer des paramètres pour les délimitations des entités.

Dans l'onglet « Traitement », vous pouvez sélectionner les formats de fichier par défaut pour les couches matricielles et vectorielles, comment aborder les géométries invalides dans un vecteur — en les laissant par défaut — ainsi que l'information affichée lors de l'exécution d'outils et du dossier de sortie par défaut. Dans le menu déroulant « Menus », vous pouvez personnaliser les outils énumérés dans les menus déroulants de la barre de menus et dans les barres d'outils. Pour les ajouter à la barre de menus, copiez la syntaxe chemin au menu à partir d'un outil qui est déjà ajouté et collez-le. Pour les ajouter à une barre d'outils, fournissez simplement une icône et cochez la boîte « Ajouter le bouton à la barre d'outils » J'ai ainsi créé une barre d'outils personnalisée à l'aide des outils de traitement des données géographiques, y compris Extraire par emplacement à l'aide de l'outil Accrochage pour extraire des icônes de la boîte à outils. La barre d'outils sera ensuite accessible une fois que QGIS sera redémarré, elle apparaîtra ainsi dans l'interface française.

La boîte « Propriétés du projet » contient des paramètres semblables, mais qui sont propres au fichier de projet actif. Elle peut s'ouvrir en cliquant sur le bouton « SCR projeté » dans le coin inférieur droit de l'interface. Dans l'onglet « Général », vous pouvez transférer « Sauvegarder les chemins d'accès » d'Absolu à Relatif pour sauvegarder les couches, ce qui réduira les complications au moment de partager les fichiers et les répertoires avec d'autres utilisateurs. Vous pouvez aussi préciser les visualisations par défaut pour différents types de géométries. L'onglet « Relations » permet d'ajouter des relations avec les couches, et la couche de référence contenant de « nombreuses » entrées, comme la couche Subdivisions de recensement, et la couche référencée contenant une entrée correspondante — utilisant ici la couche Division de recensement — les reliant par les identifiants uniques des divisions.

Enfin, nous parlerons de la résolution des problèmes courants pour traiter les couches. La plupart des résolutions renvoient aux pratiques exemplaires déjà abordées. Il faut d'abord consulter l'onglet « Journal » pour cibler des initiatives de dépannage. Par exemple, si vous obtenez des géométries non valides – exécutez les couches au moyen de l'outil de nettoyage, comme « Réparer les géométries » et exécutez de nouveau l'outil de départ à l'aide de la sortie réparée. S'il y a toujours des erreurs, les outils comme « Vérifier la validité » et « Vérificateur d'une topologie » peuvent aider à repérer les erreurs, pour ensuite les résoudre avec des outils de nettoyage plus avancés, tels que « v.clean » et « Vérifier les géométries ». Il existe aussi des outils propres à certains cas spécifiques, tels que « Supprimer les trous » et « Retirer les géométries nulles ». Il est moins intéressant de modifier les paramètres par défaut pour « Ignorer le filtrage d'entités non valides », puisque cela ne règle pas les problèmes sous-jacents et pourrait entraîner des incohérences dans les sorties et l'analyse.

Si l'onglet « Journal » indique qu'une couche ou un dossier est introuvable, assurez-vous qu'il n'y a pas d'espace ou de caractères spéciaux dans les répertoires, les sous-répertoires et/ou les noms de fichier.

Les incohérences dans les projections des couches d'entrée peuvent également entraîner des défaillances. Les codes EPSG distincts montreront des différences après les noms de fichiers – dans ce cas, reprojetez les couches dans le même système. Si vous obtenez l'erreur de traitement des données géographiques GEOS, cela peut indiquer que les types de couches diffèrent – notamment partie unique versus des multiparties, ce qui renvoie au nombre d'entités et aux entrées correspondantes du tableau des attributs. Dans ce cas, vous n'avez qu'à utiliser « De morceaux multiples à morceaux uniques » ou « Promouvoir les multiparties » pour veiller à la conformité entre les couches.

Enfin, des problèmes semblables peuvent se produire avec les outils nécessitant une conformité ou ayant des contraintes concernant les types de champs acceptés ou les formats de fichier des couches d'entrée.

  • S'ils sont liés à des types de champ connexes, vous pouvez utiliser l'outil de réfactorisation des champs pour vous assurer que les types de champ sont les mêmes. Sinon, des défaillances dans les champs courants entre les couches peuvent entraîner les outils « Joindre les attributs par valeurs de champ », « Fusionner » et d'autres outils à être défaillant. Dans l'outil, vous pouvez préciser le type et la longueur du champ ainsi que les paramètres de précision. En plus de relier les couches, il peut aussi servir à attribuer correctement un type de champ selon son contenu  – comme changer un champ de type textuel ayant des variables numériques, par un champ de type entier relatif ou double pour l'utiliser dans la Calculatrice de champ, les outils d'interpolation ou dans le but d'appliquer une symbologie graduée.
  • S'ils appartiennent aux types de géométrie acceptés : divers outils de conversion géométrique permettent le transfert vers la géométrie désirée. Des outils pertinents comme Tampon pour générer des polygones à partir des lignes ou des points, « De polygones à lignes » ou Points vers lignes pour la conversion en lignes et Centroïdes et Extraire les sommets pour extraire des sommets. Certaines couches peuvent nécessiter plus de formatage pour que la conversion fonctionne. En règle générale, les outils Polygoniser et Rastérisation sont disponibles pour la conversion entre les formats matriciels et vectoriels.
  • S'ils sont en format vectoriel : Utilisez Exporter – Sauvegarder en tant que boîte pour changer le format du fichier, qui permettrait la modification et le traitement des couches de la base de données géographiques.
  • Sinon, utilisez un outil comparable dans la « Boîte à outils des traitements ». Si l'outil de remplacement échoue également, cela indique que le problème est probablement lié aux ensembles de données d'entrée.
  • Cependant, vous pouvez aussi obtenir du dépannage en ligne en explorant les forums sur le SIG et d'autres documents en ligne. Vous serez rarement la première personne qui éprouve ce problème, et ces ressources sont des moyens fantastiques de repérer les problèmes ou les bogues connus qui ont été signalés pour, en fin de compte, résoudre les problèmes que vous éprouvez.
  • Enfin, vous pouvez explorer et installer les modules d'extension en tant que solutions de rechange pour exécuter une tâche particulière.

Utiliser ces pratiques exemplaires facilitera l'exploration, le chargement, la modification et la visualisation de plusieurs ensembles de données géospatiales dans QGIS. Appliquez ces pratiques pour réduire les erreurs, les frustrations ou les processus répétitifs éventuels lorsque vous utilisez QGIS. Comme dans tout programme, sauvegardez fréquemment les modifications apportées aux couches, aux styles de symbologie et au fichier de projet pour éviter la perte de données si le programme se ferme de manière inattendue.

(Les mots « Si vous avez des commentaires ou des questions au sujet de cette video, des outils de SIG ou d'autres produits ou services de Statistiques Canada, veuillez communiquer avec nous : statcan.sisagrequestssrsrequetesag.statcan@canada.ca » apparaissent à l'écran.)

(Le mot-symbole « Canada » s'affiche.)

Vidéo - Visualisation des données vectorielles (partie 2) : Visualisation par ensemble de règles et étiquetages

Numéro de catalogue : 89200005

Numéro d'exemplaire : 2020010

Date de diffusion : le 19 novembre 2020

QGIS Démo 10

Visualisation des données vectorielles (partie 2) — Visualisation par ensemble de règles et étiquetages - Transcription vidéo

(Le symbole de Statistique Canada, le mot-symbole « Canada » et le titre : « Visualisation des données vectorielles (partie 2) — Visualisation par ensemble de règles et étiquetages » apparaissent à l'écran.)

Content de vous revoir, Pour donner suite à la Partie I sur la Visualisation des données vectorielles, où nous avons exploré l'application de différents styles de symbologie, aujourd'hui nous allons :

Appliquer des visualisations fondées sur des règles, y compris les symbologies et les styles d'étiquettes. Ces règles peuvent être utilisés pour attribuer différents paramètres de visualisation aux entités dans une couche en fonction de leurs attributs, en utilisant, par exemple, différents champs, symboles ou mises en forme pour la visualisation. Nous allons utiliser les règles pour créer des visualisations dépendantes de l'échelle pour les classes d'entités dans la couche CPRoutier.

De plus, nous allons discuter de l'utilisation des formats de fichier symbologiques disponibles et de la façon de les appliquer aux données vectorielles. Cela vous permettra de visualiser rapidement les ensembles de données, y compris ceux dans d'autres emplacements ou périodes de collecte qui partagent les mêmes paramètres, ainsi que de partager les styles de visualisation avec vos autres collègues.

Nous allons conclure avec des procédures d'étiquetage supplémentaires, comme l'élaboration d'expressions d'étiquetage multichamps et conditionnelles.

Double cliquez sur la couche CPRoutier avec le bouton gauche de la souris pour ouvrir la boîte des propriétés de la couche. Dans l'onglet Symbologie, nous allons commencer en appliquant un Style catégorisé au champ Classe créé dans la démonstration sur la Calculatrice de champ, et cliquer sur Classer pour les ajouter à l'onglet. Le Style catégorisé est utilisé pour établir les valeurs pour les symboles et la légende avant de passer au Style basé sur les règles.

Nous pouvons cliquer avec le bouton gauche et glisser pour réorganiser les classes dans l'onglet. Nous allons les placer en ordre croissant pour assurer que les plus grandes classes n'empêchent pas la visualisation des classes de plus petite taille. Maintenant qu'elles sont en ordre croissant, nous pouvons sélectionner les routes Loisirs jusqu'aux routes Artère, en maintenant la touche maj enfoncée entre les clics gauches, puis en cliquant avec le bouton droit et en sélectionnant Modifier la couleur – que nous allons mettre à Noir. Répétez avec les classes Bretelle et Autoroute; nous allons alors sélectionner la couleur rouge. Comme la Symbologie graduée appliquée aux silos à grains lors de la démonstration précédente, nous allons ajuster les largeurs des lignes pour chaque classe, en cliquant deux fois avec le bouton gauche pour ouvrir le Sélecteur de symboles.

Donc, maintenant que les valeurs pour la visualisation et la légende sont établies, nous pouvons passer au style basé sur les règles. Cela ajoute des paramètres supplémentaires, y compris les colonnes Règle, Échelle minimale et Échelle maximale. Sélectionnez une entrée et cliquez sur l'icône Crayon ou double-cliquez avec le bouton gauche pour ouvrir la fenêtre Modifier une règle. Ici, nous allons remplacer les règles actuelles avec les expressions originales utilisées pour créer le champ Classe. Cela nous permettra d'appliquer la visualisation non seulement à la couche CPRoutier, mais aussi à la couche originale Segments routiers au Manitoba et dans d'autres provinces qui ont les mêmes paramètres de visualisation. En cliquant sur la fenêtre d'expression, nous allons remplacer la règle « road_class » > 316 AND « road_class » < 321 pour la classe Loisirs. Copiez la dernière composante de l'expression afin de paramétrer d'autres classes. Cliquez sur OK. Cochez la case Plage d'échelle. Pour l'Échelle minimale, au-delà de laquelle la visualisation est suspendue, sélectionnez 1 : 50 000 à partir du menu déroulant. Fixez l'Échelle maximale à 0, étant donné que nous ne voulons pas suspendre le rendu à mesure que nous faisons un zoom de plus en plus rapproché.

Nous pouvons aussi cliquer une fois avec le bouton gauche pour modifier les règles dans l'onglet symbologie. Donc, les classes Voie correspondaient aux valeurs de 307 OR 321. Nous allons entrer 100 000 pour l'échelle minimale. Je vais entrer les expressions restantes et les valeurs d'échelle minimales, précisées dans la description vidéo.

Maintenant, nous pouvons cliquer sur Appliquer et sur OK et jeter un coup d'œil à notre visualisation dynamique des différentes classes de routes. Avec l'échelle actuelle légèrement supérieure à 1 : 1 000 000, nous ne pouvons voir que des autoroutes. En faisant un zoom avant, les classes Collectrice et Artère apparaissent, et en nous rapprochant encore plus, les classes Voie et Local.

Maintenant, sélectionnons les règles à partir de l'onglet Symbologie, copions-les en utilisant Contrôle C, puis collons-les dans l'onglet Étiquettes après avoir sélectionné Basé sur les règles dans le menu déroulant. Pour l'onglet Symbologie comme pour l'onglet Étiquettes, nous pouvons ajouter de nouvelles règles en utilisant l'icône en forme de signe Plus et les paramétrer dans la fenêtre Modifier une règle. Les règles individuelles peuvent être suspendues en les désactivant ou retirées complètement avec l'icône en forme de signe Moins. Nous allons enlever les classes Loisirs et Bretelle pour l'étiquetage. Nous devons toujours ouvrir la fenêtre de modification des règles pour chaque entrée, pour cocher la case Étiqueter les entités et spécifier le champ utilisé dans l'étiquetage. De plus, nous voulons toujours appliquer de plus petites valeurs d'échelle minimale pour les étiquettes.

Donc, en double cliquant sur la classe Voie, cochez la case Étiquettes et sélectionnez le champ « official_s » dans le menu déroulant. Cela étiquettera les entités par le nom complet de la route. Copiez le champ de l'étiquette, que nous allons coller pour les autres classes d'entités. Nous allons augmenter la taille du texte par 1 en ordre croissant, donc pour Voie, gardez la taille par défaut de 10. Nous allons appliquer des halos aux textes correspondant aux largeurs de lignes appliquées à chaque classe dans la symbologie basée sur les règles. Pour Emplacement, il y a toute une gamme d'options qui varient entre les types de géométrie vectorielle. Pour les classes Voie et Local, nous allons utiliser Courbé – pour les autres, nous allons utiliser Parallèle, et pour toutes les classes nous allons changer Emplacement de Au-dessus à Sur la ligne. Nous pouvons préciser l'angle maximal entre les caractères au bas de l'Onglet. Enfin, nous allons changer l'échelle minimale à 1 : 50 000 pour notre classe Voie. Je vais paramétrer moi-même les classes restantes. Comme nous l'avons noté précédemment, nous pouvons également utiliser le style basé sur les règles pour l'utilisation de différents champs pour la visualisation. Pour notre classe Autoroute, utilisons le champ Route_Numb. Changeons la Police de caractères à 14. Au lieu de simplement ajouter un halo au texte, nous allons appliquer un fond de texte, en sélectionnant Ellipse dans le menu déroulant Forme et en appliquant un halo de 0,5 autour du texte. Changez la couleur de remplissage à bleu et le contour à rouge, avec une largeur de 0,25. Enfin, comme précisé plus tôt, changez Emplacement d'Au-dessus à Sur la ligne. Maintenant, examinons la visualisation.

Il y a plusieurs étiquettes qui se répètent, puisqu'il s'agit d'un fichier sur les segments routiers – où chaque ligne entre les jonctions est une entrée distincte dans la table d'attributs. Il en résulte une apparence désordonnée. Par conséquent, il y a deux options – dans l'onglet Rendu, en défilant vers le bas, nous pouvons sélectionner Combiner les lignes connectées pour Enlever les étiquettes en double. Cela éliminera la plupart des étiquettes répétées. Une autre manière de le faire est d'utiliser l'outil Dissoudre et choisir le champ « official_s », ce qui combinera les routes portant le même nom en une seule entité. Pour nous assurer que tous les doublons sont enlevés, nous allons utiliser l'outil Regroupe. De multiples champs peuvent être spécifiés pour Dissolution au besoin, par exemple pour assurer que différentes routes portant le même nom ne sont pas combinées.

Plutôt que de réintégrer les règles pour notre couche Dissolue, nous allons tout simplement copier et coller le style de la couche CPRoutier. Utilisez Toutes les catégories pour vous assurer que la symbologie et les étiquettes sont toutes deux conservées. Cela permet la visualisation rapide entre les couches dans la mesure où elles ont le même type de géométrie et partagent les mêmes paramètres de visualisation. Si nous avons décidé que nous voulions seulement appliquer le style d'étiquettes ou de symbologie, les paramètres de visualisation peuvent également être précisés au collage des données.

En activant la couche Dissolue et en désactivant CPRoutier, nous pouvons voir que toutes les étiquettes dédoublées ont été enlevées, ce qui améliore grandement la visualisation. En effectuant un zoom avant plus rapproché, nous pouvons commencer à voir nos étiquettes courbées pour les classes Voie et Local.

Discutons maintenant des styles de symbologie pour sauvegarder nos visualisations. Il y a quelques formats de fichier disponibles dans QGIS avec différentes utilisations. Les deux principaux types pour les vecteurs se trouvent sous Exporter :

Le premier type est le fichier Définition de couche ou .qlr. Ce format est explicitement lié à l'ensemble de données source. Sauvegardez le fichier dans le même répertoire en tant que couche source. Le fichier de définition peut ensuite être chargé directement dans QGIS. Vous n'avez qu'à double cliquer avec le bouton gauche pour le charger dans le Panneau Couches avec les paramètres de visualisation prédéfinis, y compris à la fois la symbologie et les étiquettes. La même chose devrait s'appliquer lors du chargement de la couche source. Pour cette couche, j'ai utilisé Combiner les lignes connectées dans le sous-onglet Rendu des étiquettes. En effectuant un zoom arrière, on peut voir que la plupart des etiquettes en double ont été enlevées, mais pas toutes.

Le deuxième format, le Fichier de style de couche QGIS ou .qml, est semblable. Il sauvegarde les paramètres de visualisation, mais n'est pas lié à l'ensemble de données source. Par conséquent, il est utile de partager des visualisations avec d'autres, ou d'appliquer les visualisations créées au même ensemble de données dans un emplacement différent ou dans un autre moment donné. Pour charger ce fichier dans la fenêtre des Propriétés de la couche, cliquez sur l'onglet Style, puis sur Charger un style. Les paramètres spécifiques de visualisation peuvent être précisés dans la fenêtre Catégories. Ensuite, localisez-le dans le registre et chargez-le. Nous pouvons également copier et coller le style au fichier sur les Segments routiers de l'Ontario. La visualisation est maintenant appliquée à l'ensemble du Manitoba et de l'Ontario, avec un rendu dynamique à mesure que nous faisons des zooms arrière et avant. Cela souligne l'utilité de ces fichiers de visualisation.

Dans l'onglet Symbologie, nous pouvons aussi sauvegarder les rampes de couleurs que nous avons modifiées ou crées. Ce format n'est pas lié à une couche. On peut accéder aux rampes de couleur sauvegardées à partir du menu déroulant Colorier une rampe. Par exemple, j'ai inversé la Rampe spectrale et l'ai sauvegardée comme Température avec la case Ajouter aux favoris cochée. Cla qui signifie qu'elle est immédiatement accessible dans le menu déroulant Couleur de rampe. J'ai aussi sauvegardé le style de Carte de chaleur de notre couche Silos à grains, avec la case Favoris non cochée. Il se trouve donc dans la barre latérale Toutes les couleurs de rampes.

Maintenant, pour la composante finale, utilisons des expressions pour générer des étiquettes multichamps et des styles d'étiquettes conditionnels. Pour les étiquettes multichamps, nous allons choisir la couche Silos à grains et ouvrir la Calculatrice de champ.

Nous allons entrer MFLabel pour le nom du champ, changer le type à texte et la longueur à 100. Élargissez le menu déroulant Champs et valeurs pour voir les champs disponibles. Maintenant, nous pouvons entrer des composantes de texte générique avec des guillemets doubles, commençant avec "Oper / deux-points / espace guillement double" pour l'opérateur ferroviaire. Utilisez deux barres verticales (||) pour séparer les différentes composantes d'expression, dans ce cas en ajoutant le champ Chemin de fer. Ajoutant de nouveau les séparateurs, tapez un guillemet simple et appuyez deux fois sur Entrée, et tapez "Co - deux-points - espace et guillemet simple", suivi par les séparateurs et le champ Company_Consolidated. Enfin, ajoutez une virgule, un espace, fermé par des guillemets doubles, puis par les séparateurs et le champ PR. On peut maintenant voir un exemple d'étiquette dans le résultat d'Aperçu.

[Expression multichamp détaillée ci-dessus]

'Oper. : ' || "Chemin de fer" || ' Co : ' || "Company_Consolidated" || ', '|| "PR" « Pr »

Ouvrez la boîte des propriétés de la couche, et dans l'onglet Étiquettes, sélectionnez Étiquettes uniques, puis le champ MFLabel en bas du menu déroulant. Encore une fois, nous pouvons préciser une taille de texte (12) et un halo (activé, largeur de 0,5). Dans l'onglet Emplacement, nous allons fixer les emplacements où les étiquettes devraient être placées, ce qui varie selon les types de géométrie, tel que noté précédemment. « Cartographique » pourrait être utilisé pour la cartographie, mais peut allonger les temps de rafraîchissement des étiquettes. Ici, nous allons utiliser Autour du point et préciser le Centre. En nous basant sur l'espacement dans notre étiquette, cela devrait placer le texte au dessus et en dessous des points. Finalement, dans l'onglet Rendu, ajoutez une échelle minimale de 1 : 500 000, puis cliquez sur OK.

En zoomant sur la valeur de l'Échelle minimale, nos étiquettes multichamp apparaissent pour chaque silo – indiquant l'opérateur ferroviaire, l'entreprise et l'abréviation de la province. Cela peut être appliqué à nouveau à tout type de couche, de champ et de géométrie vectorielle pour fournir des renseignements clés à partir de l'étiquetage.

Maintenant, nous allons explorer l'étiquetage conditionnel, utilisé pour étiqueter les entités avec certains critères ou des attributs précis. Activez et ouvrez la boîte des propriétés de la couche CPRoutier et changez à Étiquettes uniques. Cliquez sur le bouton Expression à côté d'Étiquette. En agrandissant le menu déroulant Conditionnel, double cliquez sur CASE avec le bouton gauche, et examinez la syntaxe à droite. Une fois que cela est ajouté à la boîte Expression, nous pouvons entrer les critères ou les conditions d'intérêt. En général, il s'agit de CASE WHEN; ensuite, vous devez préciser les conditions. Ce qu'il faut faire lorsque les conditions sont satisfaites et, facultativement, ce qu'il faut faire autrement, en tapant ELSE. Ici, nous allons utiliser le champ Classe et l'opérateur IN, ajoutant les classes Artère, Collectrice et Autoroute afin d'étiqueter les principales caractéristiques routières. Maintenant, nous devons préciser le champ d'étiquetage après : THEN, sélectionnant route_num dans le menu déroulant Champs et valeurs. Enfin, nous devons préciser ce qu'il faut faire avec les autres entités. Après ELSE, nous pouvons ajouter NULL. Cliquez sur Appliquer et OK.

CASE WHEN ("Classe" IN ('Artère', 'Collectrice', 'Autoroute')) THEN "route_numb" ELSE NULL END

Toutes les entités Autoroute sont maintenant étiquetées par leurs numéros de route. Toutefois, les routes Collectrice et Artère ne sont pas étiquetées puisqu'elles n'ont pas de numéros de route. Donc, ajoutons une autre expression conditionelle à l'étiquette, un énoncé IF, après THEN. Donc, si le format pour les énoncés IF précise le critère, alors il faut entrer ce qu'il faut faire si cet énoncé est « vrai », suivi par ce qu'il faut faire s'il est « faux » (FALSE), séparé par des virgules. Ici, nous allons donc préciser si le Numéro de route n'est « pas nul » (NOT NULL), l'étiqueter par Numéro de route, sinon, utiliser le champ Speed_Rest – que nous avons rempli dans la démonstration sur la Calculatrice de champ.

IF ("route_num" IS NOT NULL, "route_num", "speed_rest")

Maintenant, toutes nos classes spécifiées sont étiquetées. Cela n'est pas une visualisation qui est particulièrement plaisante sur le plan esthétique, mais elle démontre que nous pouvons utiliser des expressions pour préciser les attributs ou les conditions pour lesquels les étiquettes devraient être générées. De plus, nous pouvons emboîter les expressions l'une dans l'autre pour nous assurer que les attributs spécifiques et les paramètres d'étiquette qui nous intéressent sont utilisés. Appliquez ces compétences à d'autres ensembles de données en précisant les conditions et les attributs à utiliser.

Dans cette démonstration, nous avons couvert les symbologies et les styles d'étiquettes basés sur des règles. Nous avons également appris comment copier et coller des styles, ainsi que comment sauvegarder et charger les fichiers de symbologie afin de visualiser rapidement les ensembles de données vectorielles. Enfin, nous avons exploré les étiquettes de façon plus détaillée, y compris l'utilisation d'expressions pour créer des styles d'étiquettes multichamps et conditionnels. Appliquez ces compétences pour paramétrer, sauvegarder et partager des visualisations vectorielles. Ces compétences sont essentielles pour l'interprétation et à la création de cartes thématiques logiques. Dans le prochain tutoriel, nous allons couvrir des procédures pour joindre les ensembles de données par attributs, y compris les jointures un à un et un à plusieurs.

Nota : L'étiquetage basé sur les règles ne fonctionnait pas avec les couches segments_routiers au Manitoba ou en Ontario en raison des noms de champ. Les fichiers segments_routiers originaux en format de bases de données géospatiales ont des noms de champ complets, tandis que les CPRoutier ont été abrégés à moins de 10 caractères, lorsque convertis au format shapefile. Par conséquent, pour appliquer le système d'étiquetage pour les couches segments_routiers, nous pourrions rouvrir l'onglet Étiquettes et préciser les noms de champ complets dans le menu déroulant Étiquettes pour chaque classe d'entité ou les exporter au format shapefile et appliquer le Fichier de style de couche QGIS (.qml) qui a été créé.

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Où se situe votre entreprise par rapport à votre industrie?

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Où se situe votre entreprise par rapport à votre industrie?
Description: Où se situe votre entreprise par rapport à votre industrie?

Nos données peuvent vous aider à vous positionner sur le marché

Le Relevé trimestriel des états ­financiers (RTEF) vous offre plusieurs indicateurs par industrie et par trimestre. Ces indicateurs vous aideront à mieux connaître votre entreprise et peuvent aussi servir de point de référence afin de comparer le rendement de votre entreprise à ceux d'entreprises homologues de votre industrie.

Voici les étapes à suivre pour calculer les ratios ­financiers de votre entreprise et les comparer avec ceux de votre industrie. À titre d'exemple, nous avons utilisé l'industrie de la construction.

Ratios de rentabilité

Ces ratios mesurent la profitabilité et les bénéfices d'une entreprise avant la déduction d'intérêts et d'impôts.

Exemple :
Marge bénéficiaire = bénéfices d'exploitation / revenus d'exploitation

Ratio du 4e trimestre pour l'industrie de la construction

3,80 %
vs.
Le ratio de votre entreprise

Ratios de structure financière

Ces ratios permettent de comparer le rapport entre les capitaux empruntés et les capitaux propres, c'est-à-dire les fonds investis par les propriétaires. Calculer ces ratios permet de déterminer si l'entreprise est plus ou moins financée par la dette.

Exemple :
Ratio des dettes à l'avoir = (prêts et comptes créditeurs) / total de l'avoir

Ratio du 4e trimestre pour l'industrie de la construction

1,47
vs.
Le ratio de votre entreprise

Ratios de liquidité

Ces ratios mesurent la capacité de l'entreprise à s'acquitter de ses obligations et à payer facilement ses dettes à court terme, lorsque celles-ci arrivent à échéance. Ces ratios sont très utiles pour la bonne gestion de la trésorerie.

Exemple :
Ratio du fonds de roulement = actif à court terme / passif à court terme

Ratio du 4e trimestre pour l'industrie de la construction

1,05
vs.
Le ratio de votre entreprise

Ratios d'efficience

Ces ratios mesurent l'adéquation entre les stocks et le chiffre d'affaires ainsi que l'efficacité avec laquelle la direction écoule les stocks par rapport aux entreprises du même secteur.

Exemple :
Ratio de rotation des stocks = (revenu d'exploitation × 4 trimestres) / stocks

Ratio du 4e trimestre pour l'industrie de la construction

5,30
vs.
Le ratio de votre entreprise

Les données ci-dessus proviennent du quatrième trimestre du RTEF, veuillez vous référer au lien suivant pour obtenir plus d'indicateurs : Éléments du bilan financier trimestriel des entreprises, selon le type d'industrie

Surveillance vidéo dans les points d’accès sécurisés de Statistique Canada - Sommaire de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée

Introduction

Statistique Canada modernise ses méthodes d'accès aux données pour améliorer le service offert aux utilisateurs des données. L'objectif de la modernisation est d'exploiter le plein potentiel des fonds de données créés pour le bien du public, et d'accroître la collaboration et les partenariats entre les utilisateurs des données et les fournisseurs, tout en veillant à la protection de tous les actifs en données contre l'utilisation et la divulgation non autorisées.

Objectif

Cette évaluation des facteurs relatifs à la vie privée définit et explore les enjeux liés à la protection des renseignements personnels, à la confidentialité et à la sécurité qui découlent de l'utilisation de la vidéosurveillance (surveillance par caméra) dans des installations protégées conçues pour assurer l'accès aux données, et présente des recommandations pour résoudre ou atténuer les problèmes.

Description

Statistique Canada prévoit accroître l'accès contrôlé aux microdonnées anonymisées aux fins de projets de recherche statistique, en établissant des points d'accès sécurisés dans les locaux d'administrations fédérale, provinciales, territoriales ou municipales, d'universités et d'autres organisations. Chaque point d'accès sécurisé est une installation sécurisée de Statistique Canada qui répond aux normes de sécurité de Statistique Canada relatives à l'accès aux données, y compris la surveillance de l'accès contrôlé. Toute donnée conservée dans ces locaux reste sous la garde et le contrôle de Statistique Canada, et est assujettie aux dispositions de la Loi sur la statistique en matière de confidentialité.

L'accès à chaque point d'accès sécurisé et les activités qui s'y déroulent feront l'objet de surveillance par caméra. Seuls les employés de Statistique Canada et les personnes réputées être employées (qui fournissent des services statistiques à Statistique Canada dans le cadre d'un contrat ou d'une entente écrite) auront accès aux microdonnées dans les points d'accès sécurisés.

Par ailleurs, Statistique Canada utilisera le système de vidéosurveillance pour enregistrer les activités dans la salle sécurisée désignée, de sorte à assurer une protection accrue des employés et des actifs.

Identification et catégorisation des secteurs de risque

L'EFVP relève aussi les secteurs de risque et les classe selon le niveau de risque (le niveau 1 représentant le risque le plus faible et le niveau 4, le risque le plus élevé) associé à la collecte et à l'utilisation de renseignements personnels des employés.

  • Type de programme ou d'activité — Niveau 2 : Administration des programmes, des activités et des services.
  • Type de renseignements personnels recueillis et contexte — Niveau 1 : Seules les données fournies directement par l'individu — au moment de la collecte — relatives à un programme autorisé et recueillies directement auprès de l'individu ou avec son consentement pour la communication, pour autant que les données ne soient pas de nature délicate dans le contexte.
  • Participation des partenaires et du secteur privé au programme ou à l'activité – Niveau 3 : Avec d'autres établissements ou avec une combinaison d'administrations fédérale, provinciales, territoriales ou municipale.
  • Durée du programme ou de l'activité — Niveau 3 : Programme à long terme (continu).
  • Personnes concernées par le programme — Niveau 1 : L'utilisation, dans le cadre du programme, de renseignements personnels à des fins administratives internes touche certains employés (ou personnes réputées être employées).
  • Transmission de renseignements personnels – Niveau 3 : Les renseignements personnels sont transférés sur un dispositif portatif (p. ex. clé USB, disquette, ordinateur portatif), transférés sur un autre support ou imprimés.
  • Technologie et protection des renseignements personnels : Le nouveau projet fait intervenir la mise en œuvre d'un nouveau système électronique à l'appui du programme, mais ne nécessite pas la mise en place de nouvelles technologies.
  • Atteinte à la protection des renseignements personnels : Il existe un très faible risque que des renseignements personnels soient divulgués.
    a) L'incidence sur l'employé serait minime puisque seul un enregistrement numérique de la personne dans le point d'accès sécurisé serait divulgué.
    b) L'incidence sur l'établissement serait minime en raison de la nature peu délicate des renseignements.

Conclusion

Cette évaluation conclut que, grâce aux mesures de protection existantes, tout risque résiduel serait négligeable ou suffisamment faible pour que Statistique Canada soit prêt à l'assumer et à le gérer.

Vidéo - Visualisation des données vectorielles (Partie 1) : Styles de symbologie

Numéro de catalogue : 89200005

Numéro d'exemplaire : 2020009

Date de diffusion : le 25 février 2020

QGIS Démo 9

Visualisation des données vectorielles (Partie 1) – Styles de symbologie - Transcription vidéo

(Le symbole de Statistique Canada, le mot-symbole « Canada » et le titre : « Visualisation des données vectorielles (Partie 1) – Styles de symbologie » apparaissent à l'écran.)

Maintenant que nous savons comment modifier les attributs et la géométrie des données vectorielles, une compétence supplémentaire consiste à utiliser leurs champs aux fins de visualisation. Comme nous l'avons brièvement expliqué, ces paramètres peuvent être configurés dans la boîte Propriétés des couches. Aujourd'hui, vous apprendrez comment utiliser l'onglet Symbologie.

Les styles accessibles et leur application aux différents types de champs.

Par la suite, dans une prochaine vidéo, je vous montrerai comment utiliser les visualisations fondées sur des règles, sauvegarder et charger les fichiers de symbologie créés, et utiliser les formules d'étiquetage.

Mais d'abord, regardons certains éléments à prendre en considération pour la visualisation.

Premier élément : existe t il des conventions établies pour la symbolisation des entités particulières dans une couche? S'il existe de multiples conventions, vous devez déterminer celle qui cadre le mieux avec l'emplacement géographique visualisé.

Deuxième élément : avez vous choisi des combinaisons de couleurs logiques pour des entités particulières?

Troisième élément : quel est le style approprié selon le type de champ?

D'autres facteurs influencent également l'interprétabilité, par exemple :

  • l'accentuation du contraste entre les différentes entités;
  • le nombre d'entités et le niveau de détail par rapport à l'échelle afin d'éviter de créer des visualisations surchargées ou exagérément simplifiées.

Les modifications les plus simples à la symbologie peuvent être effectuées en cliquant à droite sur la couche, en élargissant le style et en faisant glisser le curseur sur le cercle chromatique pour changer la couleur. À l'aide du cercle blanc, vous pouvez modifier la teinte et la luminosité. Il s'agit déjà d'une amélioration pour cette couche, qui est immédiatement déchiffrable en tant que renseignements hydrographiques.

Examinons maintenant le style Symbole Unique, soit le style par défaut de QGIS, où une seule couleur est appliquée à toutes les entités utilisant les couches limites. Nous allons modifier les styles pour visualiser les deux niveaux des limites simultanément.

Donc, en ouvrant la boîte Propriétés des couches, dans l'onglet Symbologie, vous pouvez changer la couleur ou la transparence de la couche au complet, comme dans le cas de la couche hydrologique. Toutefois, puisque nous voulons changer uniquement la transparence de la couleur de remplissage en conservant les contours des limites, nous cliquerons sur l'onglet Remplissage simple puis sur Couleur de remplissage. Vous pouvez utiliser les curseurs à droite ou les sélections interactives dans les divers onglets pour configurer la couleur à appliquer. Dans notre cas, nous fixerons l'opacité à 0 pour que notre couche soit totalement transparente. Vous pouvez cliquer sur, Appliquer, pour vérifier si la visualisation vous convient, puis sur OK pour terminer.

À présent, reprenons le processus pour la couche Division de recensement. Dans l'onglet Remplissage simple, changeons la largeur du contour à 0,86 puis la couleur à rouge pour la distinguer des limites de subdivision. Comme vous l'avez vu dans le Canevas, les deux limites peuvent être visualisées simultanément.

Vous pourriez aussi utiliser une symbologie par catégories, qui vous permet de symboliser des entités, des classes ou des catégories distinctes dans un champ défini, que vous aurez sélectionné dans le menu déroulant de la colonne. À l'aide de l'identificateur unique provincial, vous pouvez cliquer sur Classifier et Appliquer. Chaque subdivision est maintenant de la couleur correspondant à sa province. Vous pourriez changer pour une autre variable nominale, comme la Division de recensement, en cliquant sur Classifier, Oui et OK. Il s'agit d'une façon de visualiser les deux niveaux des limites.

Toutefois, la rampe de couleurs aléatoire pose deux problèmes. En premier lieu, il se peut que des couleurs similaires soient attribuées aux entités adjacentes, ce qui complique leur distinction. En deuxième lieu, il est possible que les couleurs appliquées n'accentuent pas le contraste entre les entités ou qu'il ne soit pas agréable à les interpréter, sur le plan esthétique.

Pour régler ces problèmes, nous utiliserons quelques présélections de couleurs dans l'onglet Symbologie et l'outil de coloration topologique dans la boîte à outils Traitement. L'outil de coloration topologique sert expressément à symboliser les limites; il nous assure que la même couleur ne sera pas attribuée aux entités adjacentes.

Dans l'outil, nous définirons la couche d'entrée, le nombre de couleurs à utiliser et le mode qui détermine la façon dont les couleurs sont attribuées (et expliquées dans la description de l'outil à droite). Nous utiliserons Par la surface affectée compte tenu de la variation de la taille des entités dans les divisions et même plus pertinent pour les entités de notre couche de subdivision.

L'outil produit une nouvelle couche dotée des mêmes propriétés que la couche d'entrée, à l'exception d'un nouveau champ nommé « color_id », que nous pouvons utiliser pour la visualisation. Après l'avoir sélectionné dans le menu déroulant Colonne, nous allons ouvrir le menu déroulant Rampe de couleur et sélectionner Créer une nouvelle rampe de couleurs. Diverses présélections sont proposées pour la symbolisation d'une couche. Aujourd'hui, nous utiliserons Catalogue : Palette de couleurs.

Nous allons d'abord faire correspondre le nombre de couleurs à celui défini dans l'outil, pour ensuite sélectionner une combinaison de couleurs, comprenant des palettes et des dégradés, à utiliser. Dans notre cas, nous choisirons Pastel1. Cliquez sur OK, puis dans l'onglet Symbologie, cliquez sur Classifier et sur OK. Les entités adjacentes sont maintenant de couleurs distinctes, et la visualisation globale est plus facile à interpréter.

À présent, examinons les symbologies graduées à l'aide de la couche des silos à grains. Les styles gradués peuvent être utilisés pour visualiser la concentration, la magnitude ou la fréquence d'une variable avec une rampe de couleurs particulière, par exemple, les collisions de véhicules, les séismes et la taille des populations. Le style est limité aux types de champs numériques. Nous utiliserons donc le champ Capacity_tonne.

Le Mode détermine la méthode employée pour établir les plages de valeurs ou les valeurs de rupture utilisées dans la visualisation. Nous pouvons donc utiliser les Jolies ruptures, qui sont définies par défaut afin de faciliter l'interprétation des plages de valeurs. Le paramètre de précision détermine le nombre de décimales dans les valeurs de la légende, et nous pouvons modifier la valeur des classes dans le coin inférieur droit afin de changer le nombre de plages de valeurs utilisées pour la visualisation. Cliquez sur Appliquer, puis examinez le Canevas. Vous pouvez constater que tous les silos sont blancs, mis à part certains silos sur les côtes qui sont rouges. Cela s'explique par le fait qu'il y a beaucoup plus de silos primaires et de transformation à faible capacité de stockage que de silos d'exportation, dont la capacité de stockage est beaucoup plus grande.

Dans l'onglet Histogramme, vous pouvez cliquer sur Charger les valeurs pour évaluer la répartition des données et des plages de valeurs, ce qui aide à déterminer le mode le plus approprié à utiliser. Donc ici, étant donné que la plupart des entités se trouvent dans la première plage de valeurs, nous utiliserions un mode différent : dans ce cas ci, le mode quantile (nombre égal), pour qu'un nombre égal d'entités se retrouve dans chaque plage de valeurs.

Nous voulons quand même modifier les plages de valeurs pour les rendre plus intuitives. Pour ce faire, il faut double cliquer sur la plage puis entrer les nouvelles valeurs. Par le fait même, les valeurs de la légende devraient aussi s'actualiser. Nos nouvelles valeurs seront 5 000 et 50 000. Nous modifierons également les valeurs de la légende pour les bornes supérieures et inférieures à plus de 50 000 et moins de 5 000. Cliquez sur Appliquer, puis examinez le Canevas. Les couleurs sont beaucoup mieux réparties entre les entités. Dans l'onglet Histogramme, les entités sont réparties plus également entre les plages de valeurs.

En ce qui concerne la géométrie des points et des lignes, nous pouvons aussi modifier la taille des symboles entre les plages afin d'améliorer la visualisation. Augmentons donc la taille du symbole du point de 0,5 pour chaque plage de valeurs. Cliquez sur Appliquer puis sur OK. Comme nous l'avons vu dans le Canevas de carte, de cette façon, nous pouvons voir les différentes capacités de stockage entre chacun des silos.

Il existe trois autres styles de symbologie pour la géométrie des points. Nous pouvons utiliser une symbologie par groupement de points, et dans les Paramètres de rendu, notre style de symbologie graduée est encore appliqué. Le style par groupement présentera un dénombrement dynamique des entités en fonction de l'échelle du Canevas et d'une distance définie, déterminant le rayon pour le groupement. Comme nous pouvons le constater, le nombre d'éléments regroupés augmente lorsque nous faisons un zoom arrière, et si nous faisons un zoom avant, nous voyons progressivement chacune des entités.

La symbologie par déplacement de points est pour aussi dire identique au groupement, mais elle affiche les entités individuelles dans une géométrie particulière autour de la grappe. De plus, les entités peuvent être étiquetées à l'aide d'un champ défini; dans notre cas, il s'agit du champ Capacity_tonne. Comme vous pouvez le constater, ce style n'est pas idéal pour les ensembles de données détaillés ou les échelles grossières, mais il convient lorsque les entités sont dispersées ou que le Canevas est à une échelle plus raffinée, ce qui permet de distinguer les propriétés et les attributs des entités individuelles dans la grappe.

Le dernier style est la carte de densité, qui créera une interpolation dynamique sous forme de matrice en fonction de la répartition spatiale des points. Changeons donc la rampe de couleurs pour rouge, jaune et vert, et dans le menu déroulant, sélectionnons Inverser la palette de couleurs. Nous pouvons également pondérer la visualisation par un champ numérique. Nous utiliserons le champ Capacity_tonne comme paramètre de pondération. Cliquez sur Appliquer puis OK. La fonction de zoom avant et arrière nous offre une visualisation dynamique de la capacité de stockage qui change avec l'échelle. À présent, il est peut être souhaitable de modifier la rampe de couleurs parce que dans ce cas ci, les zones vertes représentent en fait une capacité de stockage nulle. Au lieu d'ouvrir le menu déroulant, cliquez sur la rampe de couleurs. Nous pouvons maintenant modifier le dégradé de couleurs par rapport aux plages de valeurs ou changer la transparence pour une couleur seulement en cliquant sur l'arrêt et en utilisant le curseur d'opacité.

De retour dans le Canevas, nous pouvons maintenant voir les limites sous jacentes au même titre que notre carte de densité. Pour terminer, sauvegardons le fichier de projet en le nommant VisualisationVecteur pour pouvoir l'utiliser dans notre prochaine vidéo , où nous verrons la symbologie fondée sur des règles et les formules d'étiquetage.

(Les mots « Si vous avez des commentaires ou des questions au sujet de cette video, des outils de SIG ou d'autres produits ou services de Statistiques Canada, veuillez communiquer avec nous : statcan.sisagrequestssrsrequetesag.statcan@canada.ca » apparaissent à l'écran.)

(Le mot-symbole « Canada » s'affiche.)